Brulhatour

Produit par la Podcast&Radio House implantée à Brive en Corrèze, "Oppidum, le podcast de l'Histoire du Bas-Limousin" poursuit son exploration de l'histoire régionale avec 4 nouveaux épisodes disponibles en ligne. Au total, on a déjà produit 15 épisodes d'environ 15 minutes chacun et c'est un vrai plaisir d'être aux commandes de ce nouveau challenge !


Oppidum : 4 nouveaux épisodes en boîte !

"Gondolval, Roi de Brive" (n° 7), "Observer le paysage pour remonter le temps" (n° 8), "Deux affaires criminelles emblématiques du Bas-Limousin" (n° 9) et "Au fil de la Vézère" (n° 10) sont les 4 nouveaux numéros qui ont été propulsés aujourd'hui sur l'ensemble des plateformes d'écoute. À suivre "La toponymie occitane de la Montagne limousine" (n° 11), "Les monuments disparus de Brive" (n° 12), "La forge de Savignac-Lédrier" (n° 13), "Les années 70 à Brive : la ruée vers l’Est" (n° 14) et "La papeterie de Vaux à Payzac" (n° 15) accompagneront les auditeurs jusqu'à la fin de cette année 2021.

Des bonus...

Pour aller au-delà de ce que proposent les plateformes d'écoutes habituelles, nous avons fait le choix de mettre en ligne un site exclusivement dédié à ce podcast. Les auditeurs peuvent, non seulement y retrouver l'ensemble des épisodes grâce à un lecteur Audiomeans intégré, mais aussi bénéficier de bonus : des articles de fond, l'iconographie des thèmes abordés, la bibliographie et même des interviews qui permettent de débriefer avec les invités. Je vous invite à découvrir le site ICI. On doit y apporter certains ajustements et autres ajouts. Bref, en faire une belle devanture.

Du travail...

Quel bilan après ces 4 mois de travail ? D'abord, je dirais qu'il faut être (presque) passionné pour s'engager dans un tel projet. Pour moi, l'histoire n'est pas une passion mais simplement un centre d'intérêt, une curiosité. Cela facilite quand même considérablement les choses. J'ai la chance de pouvoir choisir les sujets qui sont abordés. C'est un plus. Je choisis le thème mais aussi l'invité. En amont, je consacre beaucoup de temps au sujet (principalement sous la forme de lectures diverses). Toutes les questions sont rédigées et transmises à l'invité. L'interview s'effectue toujours dans les conditions du direct et le montage intervient dans la foulée pour ne pas perdre le fil. 

Des perspectives...

L'audience générée n'est pas strictement locale. C'est assez surprenant, elle déborde sur les régions limitrophes jusqu'en Île-de-France. Dans ma démarche, l'objectif n'est pas forcément de jouer la carte du quantitatif mais de privilégier le qualitatif, donc de proposer un produit de qualité, sans date de péremption. Mon associé Philippe gère la mise en ligne, les visuels, la motorisation du site... Toute le reste me revient. Nous souhaitons pousser jusqu'en juin prochain, soit un total d'environ 40 épisodes qui pourraient être produits sur une saison complète. Ce ne sont pas les thèmes qui manquent mais le temps, je le répète une énième fois, qui nous fait défaut.
 





Oppidum : 4 nouveaux épisodes en boîte !

Oppidum : 4 nouveaux épisodes en boîte !

Oppidum : 4 nouveaux épisodes en boîte !

Rédigé par Brulhatour le Mercredi 1 Décembre 2021 à 19:24 | Commentaires (0)

Une rapide définition pour nous mettre en appétit : un hébergeur stocke et distribue. Si vous comprenez cette mécanique, vous avez tout compris du rôle et des avantages que vous pourrez bénéficier de votre futur hébergeur.


L'hébergement : pas prioritaire mais nécessaire

D’abord, et dans le cadre du processus de production d’un podcast, il est, certes nécessaire de s’intéresser au choix de son futur hébergeur, mais ce n’est pas une obligation. Plutôt, ce n’est pas une étape urgente. On n’envisage pas de produire un podcast en fonction de l’hébergeur. D’abord, on pense à son podcast, avant de penser à son hébergement. Ce n’est pas au podcast de s’adapter à l’hébergeur mais à l’hébergeur de s’adapter aux podcasts des uns et des autres. C’est un postulat qui doit s’inscrire dans la durée parce que, dans le cas contraire, vous allez devoir respecter un cahier des charges plus imposant. Donc, lorsque vous avez l’idée de lancer un podcast, "prioriser les priorités" : dans l’ordre, son titre, son visuel, son style, sa rythmicité, le matériel utilisé, le temps que vous allez devoir y consacrer. Tout le reste -je ne dis pas que ce n’est pas nécessaire- je dis seulement que ce n’est pas prioritaire.
 
Primo. Vous n’avez que l’embarras du choix sur le marché de l’hébergement. D’abord : le prix. Écartez tout ce qui est gratuit, ou presque, sauf si vous voulez simplement vous amuser et vous faire plaisir. Si vous avez un autre objectif, payer un service. C’est l’assurance de bénéficier qu’une qualité qu’il est très difficile de bénéficier avec des formules gratuites. Ça vaut pour l’hébergement d’un podcast comme pour la création graphique d’une vignette. Vous payez l’orchestre, vous choisissez la musique, vous avez votre mot à dire. Vous pouvez ne pas être satisfait. Vous devez le faire savoir. Vous êtes le client et, vous connaissez le formule : "le client est roi".
 
Secundo.
Le marché de l’hébergement est loin d’être une jungle. Au bout du fil, ce sont encore et toujours, et le plus souvent, des passionnés. Ce sont des gens, on va dire, de bons conseils. Ils ont d’ailleurs tout intérêt à ce que vous soyez satisfait. Il ne faut pas leur jeter la pierre car l’hébergeur n’est pas le chainon marquant de votre audience. C’est un facilitateur. Et, ce n’est surtout pas la faute de votre hébergeur si votre podcast n’atteint pas l’audience que vous avez envisagée pour lui.
 
Tertio. L’hébergeur héberge. C’est déjà beaucoup. C’est un métier. Comme celui d’écrire ou de créer des vignettes. On ne s’improvise pas hébergeur. L’hébergeur, plus qu’héberger, il va vous faire gagner du temps.  Grâce à sa technologie, il va distiller votre épisode sur de nombreuses plateformes d’écoute en quelques clics. Ça, c’est ce que vous devez retenir : le gain de temps. Mais sa mission s’arrête là. Ce ne sera pas sa faute, je le répète, si votre podcast se retrouve noyé au milieu de millions d’autres. Ce qui fera la différence, c’est vous.
 
Quartro. Tous les hébergeurs proposent aujourd’hui différentes formules avec des services intéressants. La rapidité d’import, la possibilité d’avoir accès à des chiffres liés à votre audience, les liens simultanés avec les réseaux sociaux, un accompagnement par un membre de l’équipe, la mise en ligne en différé… Il faut prendre un peu de temps et demander, par exemple, un essai gratuit d’un mois pour se faire la main et prendre ses marques…
 
Le choix d’un hébergeur repose bien souvent sur le bouche-à-oreille, la publicité la plus loyale, rappelons-le. Donc, écoutez ce qui se dit autour de vous, partagez des sentiments, des appréhensions, des expériences et des ressentis. Je ne vous donnerai pas des noms d’hébergeurs à solliciter mais, je me permets de partager avec vous, ma philosophie (qui j’espère sera la vôtre) : vous êtes en France, privilégiez un hébergeur français.

Rédigé par Brulhatour le Mercredi 1 Décembre 2021 à 13:43 | Commentaires (0)

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