À l’occasion de la sortie du POD.006 le 31 mai prochain, Stéphane Berthomet, auteur de la série à succès "L'ombre du doute" et du podcast "French Connection", ainsi que Philippe Chapot, directeur du magazine le POD., s’associent au profit du podcast francophone et particulièrement franco-québécois. Grâce à un dossier spécial "balado", les lecteurs du POD. pourront ainsi apprendre ou approfondir leurs connaissances à travers des entretiens de personnalités et des sélections de podcasts venus de l’autre côté de l’Atlantique.
Le POD. est désormais disponible à La Librairie de Verdun — A/S Billy Robinson, 4750 Rue Wellington à Verdun (Québec)
onnu pour être très en pointe dans le monde de la technologie, le Québec s’est rapidement emparé du phénomène podcast et a ainsi fait de lui un média populaire. Un canal émergent qui a donné naissance à une pépinière de créateurs. Des acteurs du podcast québécois que Le POD. a choisi de mettre en lumière dans son prochain numéro. En effet, après leur rencontre lors d’une conférence sur Clubhouse organisée par Le POD. Philippe Chapot et Stéphane Berthomet ont compris qu’ils étaient tous les deux animés par les mêmes enjeux. En créant un cahier spécial "Balado", ils donnent au podcast la possibilité de voyager entre la France et le Québec et ainsi, faire découvrir aux lecteurs des créations originales francophones et des intervenants majeurs du podcast au Québec.
"Je suis très heureux de pouvoir contribuer à faire connaître le milieu du balado francophone au Québec à nos amis français. Créer des ponts entre les créateurs et créatrices où qu'ils et elles soient est pour moi très important" a expliqué Stéphane Berthomet.
Rédigé par Brulhatour le Vendredi 7 Mai 2021 à 07:52
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Le printemps marque le retour progressif des orages. Le premier coup de tonnerre s'est fait entendre le 15 avril dernier, lors la publication de la 3e et avant-dernière 126 000 Radio de la saison. Et quel coup de tonnerre ! On apprenait ce matin-là que la radio avait perdu 2 145 000 auditeurs en seulement un an. L'annonce a provoqué bien plus que des étincelles. Et l'arrestation d'un suspect : la Covid-19. Il est vrai que la crise sanitaire ne facilite pas la tâche des professionnels puisqu'elle modifie les comportements d'écoute et donc, impacte la mobilité des auditeurs. Pour autant, les causes de cet orage sont apparues il y a déjà longtemps.
La tendance baissière de l'audience de la radio en France ne date pas de mars 2020, même si ce processus s'est accéléré à cause du contexte sanitaire. Cette tendance baissière s'impose dès l'année 2012. Depuis, elle ne s'est jamais inversée. L'audience cumulée de la radio est passée de 82,1% en 2012 à 73,2% en 2021. Près de dix points perdus en près de dix ans.
La radio a besoin de temps long pour s'installer comme pour dévisser. Une décennie suffit amplement pour voir se dessiner des courbes et cette nouvelle période qui s'ouvre devant nous. Celle du morcellement et du tassement des audiences. Pour autant, la radio reste un média puissant grâce à ses 40 121 000 auditeurs quotidiens. Mais gageons que cet orage n'est pas encore terminé et qu'il nous réserve un autre coup de tonnerre : passer en dessous des 40 millions d'auditeurs quotidiens. Plus qu'un symbole, ce ne serait pas une bonne nouvelle, l'année où la radio fête ses 100 ans et les 40 ans de la FM.
J'ai bien ma petite idée sur les raisons de ce gros grain. La démocratisation du haut débit et la 4G, disponibles désormais dans la campagne la plus reculée, qui sont d'abord des adversaires redoutables de la radio. Ils le resteront encore longtemps. Car vraisemblablement, cette situation du "Je t'aime… moi non plus" n'en est qu'à ses débuts.
La tendance baissière de l'audience de la radio en France ne date pas de mars 2020, même si ce processus s'est accéléré à cause du contexte sanitaire. Cette tendance baissière s'impose dès l'année 2012. Depuis, elle ne s'est jamais inversée. L'audience cumulée de la radio est passée de 82,1% en 2012 à 73,2% en 2021. Près de dix points perdus en près de dix ans.
La radio a besoin de temps long pour s'installer comme pour dévisser. Une décennie suffit amplement pour voir se dessiner des courbes et cette nouvelle période qui s'ouvre devant nous. Celle du morcellement et du tassement des audiences. Pour autant, la radio reste un média puissant grâce à ses 40 121 000 auditeurs quotidiens. Mais gageons que cet orage n'est pas encore terminé et qu'il nous réserve un autre coup de tonnerre : passer en dessous des 40 millions d'auditeurs quotidiens. Plus qu'un symbole, ce ne serait pas une bonne nouvelle, l'année où la radio fête ses 100 ans et les 40 ans de la FM.
J'ai bien ma petite idée sur les raisons de ce gros grain. La démocratisation du haut débit et la 4G, disponibles désormais dans la campagne la plus reculée, qui sont d'abord des adversaires redoutables de la radio. Ils le resteront encore longtemps. Car vraisemblablement, cette situation du "Je t'aime… moi non plus" n'en est qu'à ses débuts.
Assez curieusement, c’est aussi la rythmicité d’une parution qui participe à son succès d’audience. Pourquoi ? Parce que une chronicité respectée installe naturellement des habitudes chez les auditeurs.
Prenons par exemple, l’horoscope qui est souvent multi-diffusé chaque matin à la radio et surtout à des horaires précis, déterminés et habituels. Et bien, sans surprise, l’auditeur sait, sans avoir besoin de regarder sa montre, quelle heure il est précisément au moment où il écoute son horoscope. Plus la parution, la diffusion ou la mise en ligne sont rapprochées dans le temps, plus cela installe une habitude d’écoute. Plus l’auditeur y pense et donc, mieux c’est.
A contrario, il est beaucoup plus difficile d’installer une habitude lorsque la parution, la diffusion ou la mise en ligne s’inscrivent dans un temps long : hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle, bimestrielle, trimestrielle ou annuelle. Plus difficile encore lorsqu’il s’agit d’une mise en ligne "irrégulomadaire". Je voudrais d’abord évoquer l’origine du mot "irrégulomadaire". Ce mot vient d'une plaisanterie de Pierre Déom, le seul rédacteur d’une publication avec laquelle j’ai été biberonné dans mon enfance (et encore aujourd’hui), publication qui porte le nom de "La Hulotte". Pierre Déom avait inventé ce néologisme pour justifier la parution très irrégulière de sa revue. Autrement dit, il publie sa revue quand elle prête, environ tous les 6 mois. C’est la surprise. Et, dans ce cas, ça matche à chaque publication. Pourquoi ? Parce que "La Hulotte", c’est, bien avant d’être une revue, un état d’esprit, une communauté très attachée à la philosophie éditoriale de cet "irrégulomadaire".
Il y a d’autres exemples mais ils sont autant anecdotiques. À la télévision, le bêtisier le 31 décembre au soir, était très attendu il y a quelques années, ce qui ne semble plus être le cas. Dans la presse, il y a encore le Guide Michelin ou encore le Who’s Who qui paraissent chaque année et qui sont très attendus par une communauté très engagée. À la radio, il n’y a pas, à ma connaissance, d’émission trimestrielle, semestrielle ou annuelle qui provoque autant l’attente des auditeurs. C’est dommage. C’est même vraisemblablement pas un signe de bon santé.
Plus la parution, la diffusion ou la mise en ligne sont rapprochées dans le temps, plus votre notoriété s’accélèrera. Non pas d’abord grâce à votre contenu mais grâce à votre présence répétée. Vous marquez votre territoire, tous les matins, tous les jours ou toutes les semaines. Pour opter pour une mise en ligne plus espacée ou plus "irrégulomadaire", il faut disposer d’une communauté très attentive à vos faits et gestes. Une communauté qui a confiance en vous et qui attend de vous une valeur-ajoutée dans ce qui vous relie à elle. Ce qui vous unit.
Quelle est la parution idéale pour mon podcast ? C’est une question fondamentale. Mais, comprenez que personne ne peut répondre à cette question sauf peut-être (et sans l’assurance d’avoir raison) vous-même.
Quelques pistes de réflexion pour mieux comprendre… Si votre podcast traite de l’actualité chaude, il est incompréhensible que celui-ci soit mis en ligne au-delà d’un rythme hebdomadaire. Si vous intéressez aux hommes et aux choses qui gravitent autour d’un temps long, alors une mise en ligne plus espacée est ici plus logique parce que vous vous inscrivez dans un exercice de réflexion.
Encore une fois, et si j’ai un conseil à vous donner, je dirai que ce ne sont pas les hommes, les voitures, les avions, le débit de votre téléphone ou de votre ordinateur qui doivent aller vite. Ce sont les idées. Alors, pour répondre finalement à cette question "quelle rythmicité pour un podcast ?" et bien, il faut faire fonctionner sa mécanique de pensée, privilégier son bon sens. Et se demander ce que veulent celles et ceux qui vous écoutent. Répondre à cette question, c’est déjà avoir le début d’une réponse quant à la rythmicité de votre podcast.
A contrario, il est beaucoup plus difficile d’installer une habitude lorsque la parution, la diffusion ou la mise en ligne s’inscrivent dans un temps long : hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle, bimestrielle, trimestrielle ou annuelle. Plus difficile encore lorsqu’il s’agit d’une mise en ligne "irrégulomadaire". Je voudrais d’abord évoquer l’origine du mot "irrégulomadaire". Ce mot vient d'une plaisanterie de Pierre Déom, le seul rédacteur d’une publication avec laquelle j’ai été biberonné dans mon enfance (et encore aujourd’hui), publication qui porte le nom de "La Hulotte". Pierre Déom avait inventé ce néologisme pour justifier la parution très irrégulière de sa revue. Autrement dit, il publie sa revue quand elle prête, environ tous les 6 mois. C’est la surprise. Et, dans ce cas, ça matche à chaque publication. Pourquoi ? Parce que "La Hulotte", c’est, bien avant d’être une revue, un état d’esprit, une communauté très attachée à la philosophie éditoriale de cet "irrégulomadaire".
Il y a d’autres exemples mais ils sont autant anecdotiques. À la télévision, le bêtisier le 31 décembre au soir, était très attendu il y a quelques années, ce qui ne semble plus être le cas. Dans la presse, il y a encore le Guide Michelin ou encore le Who’s Who qui paraissent chaque année et qui sont très attendus par une communauté très engagée. À la radio, il n’y a pas, à ma connaissance, d’émission trimestrielle, semestrielle ou annuelle qui provoque autant l’attente des auditeurs. C’est dommage. C’est même vraisemblablement pas un signe de bon santé.
Plus la parution, la diffusion ou la mise en ligne sont rapprochées dans le temps, plus votre notoriété s’accélèrera. Non pas d’abord grâce à votre contenu mais grâce à votre présence répétée. Vous marquez votre territoire, tous les matins, tous les jours ou toutes les semaines. Pour opter pour une mise en ligne plus espacée ou plus "irrégulomadaire", il faut disposer d’une communauté très attentive à vos faits et gestes. Une communauté qui a confiance en vous et qui attend de vous une valeur-ajoutée dans ce qui vous relie à elle. Ce qui vous unit.
Quelle est la parution idéale pour mon podcast ? C’est une question fondamentale. Mais, comprenez que personne ne peut répondre à cette question sauf peut-être (et sans l’assurance d’avoir raison) vous-même.
Quelques pistes de réflexion pour mieux comprendre… Si votre podcast traite de l’actualité chaude, il est incompréhensible que celui-ci soit mis en ligne au-delà d’un rythme hebdomadaire. Si vous intéressez aux hommes et aux choses qui gravitent autour d’un temps long, alors une mise en ligne plus espacée est ici plus logique parce que vous vous inscrivez dans un exercice de réflexion.
Encore une fois, et si j’ai un conseil à vous donner, je dirai que ce ne sont pas les hommes, les voitures, les avions, le débit de votre téléphone ou de votre ordinateur qui doivent aller vite. Ce sont les idées. Alors, pour répondre finalement à cette question "quelle rythmicité pour un podcast ?" et bien, il faut faire fonctionner sa mécanique de pensée, privilégier son bon sens. Et se demander ce que veulent celles et ceux qui vous écoutent. Répondre à cette question, c’est déjà avoir le début d’une réponse quant à la rythmicité de votre podcast.
J’ai d’abord regardé la définition du mot inspiration : un souffle créateur qui anime les artistes et les chercheurs. Bon, c’est un peu flou, d’autant qu’il faudrait mieux donner ici la définition de ce que représente l’inspiration créatrice. Alors, comme je ne l’ai pas trouvée, je vais vous donner une définition très personnelle élaborée grâce à mon expérience personnelle.
Pour être être inspiré, il faut être dans de bonnes conditions : les belles plantes et les belles fleurs ne poussent que sur du bon terreau et à condition qu’elles soient régulièrement arrosées. Et bien, pour l’inspiration créatrice, c’est un peu la même chose. Il faut être dans de bonnes conditions ou, plutôt, dans de bonnes dispositions d’esprit. Et ça, on va dire que depuis un an, ce n’est pas toujours facile parce que beaucoup d’informations anxiogènes se télescopent, beaucoup de nouvelles règles s’entrechoquent quotidiennement entraînant un mal-être, un état d’esprit qui n’est pas propice à la germination de bonnes idées.
#1 S’aérer l’esprit
On gagne toujours à sortir de chez soi et à sortir de son bureau. Toujours. Parce que, une fois à l’extérieur, on va prendre le pouls de la société et de ce qui vous entoure. Vous allez humer l’air du temps. Ça, c’est très excitant. C’est même très inspirant. Vous devez être curieux mais surtout vous devez être observateur et en tirer des conclusions ou des pistes de réflexion. Ce que les gens aiment, ce qu’ils n’aiment pas, ce qu’il attendent, isoler les carences ou les trop-pleins… Bref, faire un état des lieux.
#2 Être avec les bonnes personnes
Je le répète, on ressemble souvent aux deux ou trois personnes avec lesquelles on traîne le plus souvent. Si vous traînez avec des wagons de queue, il y a de fortes chances pour que vous deveniez à votre tour un wagon de queue. En revanche, si vous rencontrez quotidiennement des personnes qui vont de l’avant, qui ont un bon esprit, qui aime les paris et les projets, qui aime ce qu’ils font alors ce genre de comportements déteindra sur vous. Ce sont des personnes inspirantes qu’il faut repérer et tenter de suivre. Les réactions de votre communauté sont aussi très galvanisantes.
#3 S’entraîner quotidiennement
L’inspiration, c’est une mécanique d’esprit et comme tout mécanique d’esprit, elle exige un entraînement régulier qui vous permettra probablement d’ouvrir d’autres portes ou de gravir d’autres étages et difficultés. S’entraîner, c’est, par exemple, lire quotidiennement. Elargir sa vision d’esprit, j’allais dire son panorama, son horizon de pensées. Ce n’est pas facile. Parce que ça exige des vertus
#4 Miser sur le collectif
Les séances collectives de recherches d’idées sont très utiles. On appelle ça l’émulation collective. Elles le sont d’autant plus lorsque que ces séances collectives sont composés de personnalités d’horizon différents. Quand chacun apporte sa pièce à l’édifice, il en ressort obligatoirement quelque chose. Alors, rarement, il en sort une idée prête à être concrétisée mais souvent, on arrive à ouvrir des portes ou à matérialiser des inspirations plus concrètement. Parce exemple, soyez certain qu’aucune idée élaborée ne sortira de cette discussion sur ClubHouse. En revanche, je suis persuadé qu’elle sera une source supplémentaire d’inspiration.
#5 Eviter les mauvais endroits
Ce sont tous les endroits que vous définissez comme peu inspirants. Forcément, les vôtres ne sont pas les miens. L’inverse est aussi vrai. Ce qui est inspirant, c’est votre communauté. Vos auditeurs. Ceux qui vous écoutent. C’est même probablement une des meilleurs sources d’inspiration. Les réactions de votre communauté sont aussi très galvanisantes. En plus, toutes les réactions sont désormais en temps réel. Elles sont gratuites. Vous n’avez que vous baisser pour les ramasser et pour vous en inspirer.
Être inspirant donc, c’est d’abord un état d’esprit. Mieux vaut avoir l’esprit ouvert et curieux lorsqu’on développe un produit ou un service créatif comme le podcast. Il ne faut pas avoir peur de se juger soi-même. Être en capacité aussi d’avaler et de digérer la critique qui vient de l’extérieur. Se remettre en question, souvent. Changer, parfois. Réécouter les podcasts que l’on a réalisés. Comprendre ses erreurs, comme ses réussites.
Être inspirant ça prend du temps parce que observer demande de l’engagement et beaucoup de patience. J’adore les gens curieux parce qu’ils sont toujours très inspirants. On peut être inspiré à n’importe quel moment de la journée, n’importe où et avec (presque) n’importe qui. Et surtout en dehors de son domaine de compétence. Si vous produisez un podcast sur le marché de la pomme, intéresse-vous aussi au marché de poire et de la prune. Vous y découvrez des différences mais, parions que vous y découvrirez aussi, des choses qui seront le début d’une longue aventure !
#1 S’aérer l’esprit
On gagne toujours à sortir de chez soi et à sortir de son bureau. Toujours. Parce que, une fois à l’extérieur, on va prendre le pouls de la société et de ce qui vous entoure. Vous allez humer l’air du temps. Ça, c’est très excitant. C’est même très inspirant. Vous devez être curieux mais surtout vous devez être observateur et en tirer des conclusions ou des pistes de réflexion. Ce que les gens aiment, ce qu’ils n’aiment pas, ce qu’il attendent, isoler les carences ou les trop-pleins… Bref, faire un état des lieux.
#2 Être avec les bonnes personnes
Je le répète, on ressemble souvent aux deux ou trois personnes avec lesquelles on traîne le plus souvent. Si vous traînez avec des wagons de queue, il y a de fortes chances pour que vous deveniez à votre tour un wagon de queue. En revanche, si vous rencontrez quotidiennement des personnes qui vont de l’avant, qui ont un bon esprit, qui aime les paris et les projets, qui aime ce qu’ils font alors ce genre de comportements déteindra sur vous. Ce sont des personnes inspirantes qu’il faut repérer et tenter de suivre. Les réactions de votre communauté sont aussi très galvanisantes.
#3 S’entraîner quotidiennement
L’inspiration, c’est une mécanique d’esprit et comme tout mécanique d’esprit, elle exige un entraînement régulier qui vous permettra probablement d’ouvrir d’autres portes ou de gravir d’autres étages et difficultés. S’entraîner, c’est, par exemple, lire quotidiennement. Elargir sa vision d’esprit, j’allais dire son panorama, son horizon de pensées. Ce n’est pas facile. Parce que ça exige des vertus
#4 Miser sur le collectif
Les séances collectives de recherches d’idées sont très utiles. On appelle ça l’émulation collective. Elles le sont d’autant plus lorsque que ces séances collectives sont composés de personnalités d’horizon différents. Quand chacun apporte sa pièce à l’édifice, il en ressort obligatoirement quelque chose. Alors, rarement, il en sort une idée prête à être concrétisée mais souvent, on arrive à ouvrir des portes ou à matérialiser des inspirations plus concrètement. Parce exemple, soyez certain qu’aucune idée élaborée ne sortira de cette discussion sur ClubHouse. En revanche, je suis persuadé qu’elle sera une source supplémentaire d’inspiration.
#5 Eviter les mauvais endroits
Ce sont tous les endroits que vous définissez comme peu inspirants. Forcément, les vôtres ne sont pas les miens. L’inverse est aussi vrai. Ce qui est inspirant, c’est votre communauté. Vos auditeurs. Ceux qui vous écoutent. C’est même probablement une des meilleurs sources d’inspiration. Les réactions de votre communauté sont aussi très galvanisantes. En plus, toutes les réactions sont désormais en temps réel. Elles sont gratuites. Vous n’avez que vous baisser pour les ramasser et pour vous en inspirer.
Être inspirant donc, c’est d’abord un état d’esprit. Mieux vaut avoir l’esprit ouvert et curieux lorsqu’on développe un produit ou un service créatif comme le podcast. Il ne faut pas avoir peur de se juger soi-même. Être en capacité aussi d’avaler et de digérer la critique qui vient de l’extérieur. Se remettre en question, souvent. Changer, parfois. Réécouter les podcasts que l’on a réalisés. Comprendre ses erreurs, comme ses réussites.
Être inspirant ça prend du temps parce que observer demande de l’engagement et beaucoup de patience. J’adore les gens curieux parce qu’ils sont toujours très inspirants. On peut être inspiré à n’importe quel moment de la journée, n’importe où et avec (presque) n’importe qui. Et surtout en dehors de son domaine de compétence. Si vous produisez un podcast sur le marché de la pomme, intéresse-vous aussi au marché de poire et de la prune. Vous y découvrez des différences mais, parions que vous y découvrirez aussi, des choses qui seront le début d’une longue aventure !
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