À quoi sert une newsletter ? Si vous êtes capable de répondre à cette question, vous pouvez vous atteler à en développer une. Vous parviendrez, probablement, à créer une communauté d’abonnés. L’ADN de la newsletter, c’est de maintenir un lien privilégié avec vos auditeurs ou vos lecteurs. Mais, comme pour toute chose, pour recevoir, il faut savoir donner. De son intérêt à sa conception, de son rythme d’envoi à son contenu évolutif, de sa monétisation à ses bénéfices … Tour d’horizon ce qu’il faut faire et ne pas faire si vous optez pour une newsletter…
Un rappel d’abord : il faut désormais une bonne raison pour encombrer encore davantage la messagerie d’un correspondant. Parce que si ce dernier estime que le contenu que vous lui envoyez ne le concerne pas ou n’est pas à la hauteur de ses attentes, il y a de fortes chances pour que votre envoi soit jugé comme étant un spam et que votre adresse soit définitivement black-listée. D’où l’intérêt pour vous de penser correctement l’ossature de votre newsletter. Il est nécessaire que cette newsletter, qui intervient souvent comme un levier d’audience, apporte une plus-value, une valeur ajoutée, à celui qui la reçoit. Dans le cas contraire, vous ferez chou blanc. Au mieux, votre newsletter terminera dans la Corbeille. Au pire, vous risquez le désabonnement quand ce n’est pas la désertion définitive d’un auditeur potentiel.
Faire gagner du temps : le nouvel objectif de la newsletter
La meilleure plus-value d’une newsletter, c’est le gain de temps qu’elle va provoquer chez le destinataire. Le changement de société qui s’est opéré depuis la dernière décennie, le prouve. Les auditeurs, les lecteurs, les téléspectateurs, les acheteurs… ont de moins en moins de temps à vous consacrez car ils sont de plus en plus sollicités. Si vous parvenez à leur faire gagner du temps, ne seraient-ce que seulement quelques secondes, c’est que votre newsletter sert déjà à quelque chose. Ne tombez pas dans le piège : la plupart des newsletters que l’on reçoit n’ont aucun intérêt, si ce n’est rappeler l’existence d’une marque, nous font perdre du temps et encombrent nos messageries. Voilà pour le constat. Maintenant. Allez-y en évitant ces trois écueils et, si possible, en vous inspirant des 5 leviers ci-dessous…
La meilleure plus-value d’une newsletter, c’est le gain de temps qu’elle va provoquer chez le destinataire. Le changement de société qui s’est opéré depuis la dernière décennie, le prouve. Les auditeurs, les lecteurs, les téléspectateurs, les acheteurs… ont de moins en moins de temps à vous consacrez car ils sont de plus en plus sollicités. Si vous parvenez à leur faire gagner du temps, ne seraient-ce que seulement quelques secondes, c’est que votre newsletter sert déjà à quelque chose. Ne tombez pas dans le piège : la plupart des newsletters que l’on reçoit n’ont aucun intérêt, si ce n’est rappeler l’existence d’une marque, nous font perdre du temps et encombrent nos messageries. Voilà pour le constat. Maintenant. Allez-y en évitant ces trois écueils et, si possible, en vous inspirant des 5 leviers ci-dessous…
#1 Le démarrage
Choisissez une fois pour toutes, votre fenêtre de tir. Autrement dit, réfléchissez à une chronicité. Si vous avez convenu d’un envoi hebdomadaire (prenons l’exemple du samedi à 09h), envoyez votre newsletter chaque samedi à 09h. Pas à 08h45 ni à 09h15. À 09h. Le samedi. Chaque samedi. Tenir la cadence sur l’ensemble d’une saison et être ponctuel, c’est déjà respecter votre abonné. Pour quelle cadence opter ? Je dirais que pour installer une habitude, plus cette cadence est rapprochée dans le temps, plus cette habitude s’installera rapidement. C’est le principe du quotidien disponible chaque matin chez votre marchand de journaux ou de la matinale, entre 6h et 9h, à la radio. Mais plus la cadence est rapprochée, plus cela exige un travail car il ne s’agit pas d’appuyer sur un bouton pour envoyer une newsletter ! Le travail en amont, qui s’effectue dans un back office, est souvent considérable et très chronophage !
#2 La transmission
Pour envoyer une newsletter, il vous faut une infrastructure technique à défaut de devoir envoyer manuellement votre newsletter, ce qui est impossible. Donc, il vous faut maîtriser cet aspect strictement technique de la newsletter. Par exemple, une entreprise française bien connue permet l’envoi massif de newsletters : Sendiblue. La problématique à laquelle vous allez être rapidement confrontés repose sur le nombre de newsletters envoyées. Je m’explique. Vous avez 1 000 abonnés. Vous envoyez une newsletter par jour, du lundi au vendredi. Donc, vous envoyez en définitive 5 000 newsletters par semaine, donc 20 000 newsletters par mois donc 240 000 newsletters par an. Je ne compte pas ici les newsletters spécifiques (celles notamment qui promeuvent des opérations spéciales). Tout ça pour dire que la newsletter, c’est, aussi et d’abord, un budget au cas où cela vous aura échappé…
#3 Le carburant
Ça se complique… Le contenu, c’est le cœur du réacteur de votre newsletter. Son ADN. C’est donc ici que se trouvent les 70% de votre newsletter. Que peut-on y trouver ? Principalement des infos, ou plutôt des infos intéressantes qui donnent envie au destinataire d’en savoir davantage. Comprenez que la newsletter, c’est un peu l’arrière-boutique de votre magasin. Un lieu qui va donc bien au-delà de ce qui constitue la seule vitrine que représentent votre site web. Comme chaque arrière-boutique, l’internaute y fera des découvertes toujours très intéressantes, aura accès à des produits qui ne sont pas en devanture, bénéficiera de promotions avant tout le monde, de bons conseils, d’actualités exclusives… Une sorte, le mot est lâché, de showroom. Ça y est, on y est, vous l’avez compris, cet endroit spécifique est réservé aux seuls abonnés et votre newsletter remplit, une fois cette étape passée, pleinement son objectif.
#4 La carrosserie
Ce sont les 30% restants. Le pays du bonus et de l’exclusivité. Tout ce qui affute votre image et rassasie votre abonné. Pour illustrer mes propos, on peut y trouver des liens qui pointent vers des sites amis, des offres et des actus glanées sur le web, un chiffre, un fil RSS, une photo issue de vos enregistrements, une promo pour s’abonner, les liens de vos réseaux, un ebook à télécharger, un son bonus… il faut que cette carrosserie brille. D’où l’intérêt de respecter aussi des codes graphiques : la police, les couleurs… Mais aussi toute la titraille et les entrées de lecture qui doivent être engageantes. Dans une boulangerie, on ne met pas la recette à côté du gros gâteau placé en vitrine. Ici, c’est la même chose : on présente bien pour provoquer une envie, autrement dit, un clic sur un lien.
#5 Le transport
C’est la façon d’accompagner le destinataire de votre newsletter sur le plus long trajet possible, durant toute une saison, et au-delà. Il n’y a pas de recette de miracle. L’essentiel est de créer un besoin et de le satisfaire grâce à votre envoi. Mais ce que l’internaute doit aussi voir en premier (et le plus souvent possible sur tous les endroits possibles), c’est la façon de s’abonner, pas celle de se désabonner. Dans ce cas précis, il faut même lui faciliter la tâche à chaque instant pour qu’il s’abonne et la lui compliquer (un peu) pour qu’il se désabonne. C’est de bonne guerre… ça permet surtout de réduire le taux de désabonnement et de se constituer rapidement un fichier d’abonnés et donc de courriels qualitatifs, donc de constituer sa communauté.
Choisissez une fois pour toutes, votre fenêtre de tir. Autrement dit, réfléchissez à une chronicité. Si vous avez convenu d’un envoi hebdomadaire (prenons l’exemple du samedi à 09h), envoyez votre newsletter chaque samedi à 09h. Pas à 08h45 ni à 09h15. À 09h. Le samedi. Chaque samedi. Tenir la cadence sur l’ensemble d’une saison et être ponctuel, c’est déjà respecter votre abonné. Pour quelle cadence opter ? Je dirais que pour installer une habitude, plus cette cadence est rapprochée dans le temps, plus cette habitude s’installera rapidement. C’est le principe du quotidien disponible chaque matin chez votre marchand de journaux ou de la matinale, entre 6h et 9h, à la radio. Mais plus la cadence est rapprochée, plus cela exige un travail car il ne s’agit pas d’appuyer sur un bouton pour envoyer une newsletter ! Le travail en amont, qui s’effectue dans un back office, est souvent considérable et très chronophage !
#2 La transmission
Pour envoyer une newsletter, il vous faut une infrastructure technique à défaut de devoir envoyer manuellement votre newsletter, ce qui est impossible. Donc, il vous faut maîtriser cet aspect strictement technique de la newsletter. Par exemple, une entreprise française bien connue permet l’envoi massif de newsletters : Sendiblue. La problématique à laquelle vous allez être rapidement confrontés repose sur le nombre de newsletters envoyées. Je m’explique. Vous avez 1 000 abonnés. Vous envoyez une newsletter par jour, du lundi au vendredi. Donc, vous envoyez en définitive 5 000 newsletters par semaine, donc 20 000 newsletters par mois donc 240 000 newsletters par an. Je ne compte pas ici les newsletters spécifiques (celles notamment qui promeuvent des opérations spéciales). Tout ça pour dire que la newsletter, c’est, aussi et d’abord, un budget au cas où cela vous aura échappé…
#3 Le carburant
Ça se complique… Le contenu, c’est le cœur du réacteur de votre newsletter. Son ADN. C’est donc ici que se trouvent les 70% de votre newsletter. Que peut-on y trouver ? Principalement des infos, ou plutôt des infos intéressantes qui donnent envie au destinataire d’en savoir davantage. Comprenez que la newsletter, c’est un peu l’arrière-boutique de votre magasin. Un lieu qui va donc bien au-delà de ce qui constitue la seule vitrine que représentent votre site web. Comme chaque arrière-boutique, l’internaute y fera des découvertes toujours très intéressantes, aura accès à des produits qui ne sont pas en devanture, bénéficiera de promotions avant tout le monde, de bons conseils, d’actualités exclusives… Une sorte, le mot est lâché, de showroom. Ça y est, on y est, vous l’avez compris, cet endroit spécifique est réservé aux seuls abonnés et votre newsletter remplit, une fois cette étape passée, pleinement son objectif.
#4 La carrosserie
Ce sont les 30% restants. Le pays du bonus et de l’exclusivité. Tout ce qui affute votre image et rassasie votre abonné. Pour illustrer mes propos, on peut y trouver des liens qui pointent vers des sites amis, des offres et des actus glanées sur le web, un chiffre, un fil RSS, une photo issue de vos enregistrements, une promo pour s’abonner, les liens de vos réseaux, un ebook à télécharger, un son bonus… il faut que cette carrosserie brille. D’où l’intérêt de respecter aussi des codes graphiques : la police, les couleurs… Mais aussi toute la titraille et les entrées de lecture qui doivent être engageantes. Dans une boulangerie, on ne met pas la recette à côté du gros gâteau placé en vitrine. Ici, c’est la même chose : on présente bien pour provoquer une envie, autrement dit, un clic sur un lien.
#5 Le transport
C’est la façon d’accompagner le destinataire de votre newsletter sur le plus long trajet possible, durant toute une saison, et au-delà. Il n’y a pas de recette de miracle. L’essentiel est de créer un besoin et de le satisfaire grâce à votre envoi. Mais ce que l’internaute doit aussi voir en premier (et le plus souvent possible sur tous les endroits possibles), c’est la façon de s’abonner, pas celle de se désabonner. Dans ce cas précis, il faut même lui faciliter la tâche à chaque instant pour qu’il s’abonne et la lui compliquer (un peu) pour qu’il se désabonne. C’est de bonne guerre… ça permet surtout de réduire le taux de désabonnement et de se constituer rapidement un fichier d’abonnés et donc de courriels qualitatifs, donc de constituer sa communauté.
Deux exemples, ci-dessous, de newsletters quotidiennes : celle de La Lettre Pro de la Radio et celle du magazine LePOD.
Rédigé par Brulhatour le Mercredi 9 Mars 2022 à 12:51
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Alors que la crise sanitaire semble s’éloigner chaque jour davantage, nous avons pris la décision de fêter la radio avant l’été. Après deux éditions annulées (en janvier 2021 et en janvier 2022), le Salon de la Radio devient, en 2022, le Paris Radio Show. Et l’heure est donc venue de vous proposer un grand évènement les 2 et 3 juin à La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt. Ce sera désormais, et pour les trois prochaines années en juin, le quartier général annuel de la radio. Un bel évènement, encore une fois, dédié à la radio, au monde du podcast, de l’audio digital et de la musique. Avec une vraie promesse : celle de célébrer les retrouvailles de la grande famille de la radio ! Des conférences, des rencontres, des animations autour de la radio après deux années de crise et d’absence. Ce Paris Radio Show, à quelques semaines de la fin de la saison, sera aussi l’occasion d’installer durablement, espérons-le, une nouvelle édition de la Fête de la radio, organisée donc durant notre évènement pour que la fête soit plus belle encore.
En France, comme ailleurs, ces deux dernières années ont été très difficiles pour le secteur de l’évènementiel dont les Éditions HF sont un acteur majeur depuis de longues années. À quelques semaines de cette nouvelle impulsion, en direction de ce qu’il convient désormais d’appeler le Paris Radio Show, notre motivation n’en est que plus grande. Bien sûr, ce nouveau départ se fera en lien étroit avec les secteurs de la radio et de l’audio digital, de ses professionnels et de l’ensemble des organisations publiques et privées.
Enfin, alors que nous quittons une crise, une autre, tout aussi inquiétante, se dessine à l’horizon. À moins de trois heures de Paris se joue probablement le destin de l’Europe. À l’heure où nous écrivons ces lignes, et alors que la situation géopolitique peut vite évoluer dans un sens comme dans un autre, nous pensons fort aux professionnels de la radio ukrainienne.
Ce magazine est disponible en cliquant ICI
En France, comme ailleurs, ces deux dernières années ont été très difficiles pour le secteur de l’évènementiel dont les Éditions HF sont un acteur majeur depuis de longues années. À quelques semaines de cette nouvelle impulsion, en direction de ce qu’il convient désormais d’appeler le Paris Radio Show, notre motivation n’en est que plus grande. Bien sûr, ce nouveau départ se fera en lien étroit avec les secteurs de la radio et de l’audio digital, de ses professionnels et de l’ensemble des organisations publiques et privées.
Enfin, alors que nous quittons une crise, une autre, tout aussi inquiétante, se dessine à l’horizon. À moins de trois heures de Paris se joue probablement le destin de l’Europe. À l’heure où nous écrivons ces lignes, et alors que la situation géopolitique peut vite évoluer dans un sens comme dans un autre, nous pensons fort aux professionnels de la radio ukrainienne.
Ce magazine est disponible en cliquant ICI
On rêve tous de gagner plus. Mais pour gagner davantage, on oublie trop souvent qu’il faut aussi "travailler plus" comme le disait un ancien Président de la République. Est-ce possible ? Oui. Est-ce tenable ? Non. Parce que les journées ne font que 24 heures et parce que les challenges qui s’inscrivent dans la durée sont beaucoup plus difficiles à mener à leurs termes que des efforts sur une courte période ou sur quelques instants. Malgré tout, on peut tenter de transformer cet adage du "travailler plus" par l’équation intéressante du "travailler mieux".
D’abord, est-ce possible de compléter ses revenus avec un podcast ? La réponse est oui. Je vais tenter de vous l’expliquer. En réalité, tout est possible dans la vie. Il y a de nombreuses directions à suivre pour compléter ses revenus. Les compléter avec ce qui est au départ une passion est encore mieux. D’ailleurs, retenons cette phrase de Confucius qui nous dit : "Choisis un travail que tu aimes, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie". Elle est intéressante cette pensée de Confucius parce qu’elle produit aussi son petit effet. Pour autant, j’ai rarement rencontré des gens qui s’éclatent dans leur travail. C’est rare. Parce que le travail, il est répétitif, harassant, fatiguant et, parfois, aliénant. Au bout de quatre décennies, il vous dépossède.
Pour compléter ses revenus, grâce à un podcast, il faut aussi comprendre que, si tout travail mérité salaire, "la victoire aime l’effort" comme le disait le poète Catulle. Et, il y a rarement des résultats sans souffrance. Dans chaque aventure professionnelle, rien n'est facile. La mienne repose sur un rapport qui peut parfois surprendre : 70% de souffrances et 30% de satisfactions. C’est un peu comme la foi : 99 secondes de doute pour 1 seule seconde de grâce. C’est assez injuste, je vous l’accorde.
Pour compléter ses revenus, grâce à un podcast, il faut aussi comprendre que, si tout travail mérité salaire, "la victoire aime l’effort" comme le disait le poète Catulle. Et, il y a rarement des résultats sans souffrance. Dans chaque aventure professionnelle, rien n'est facile. La mienne repose sur un rapport qui peut parfois surprendre : 70% de souffrances et 30% de satisfactions. C’est un peu comme la foi : 99 secondes de doute pour 1 seule seconde de grâce. C’est assez injuste, je vous l’accorde.
5 conseils "à pas cher"
#1 Choisir le bon sujet
Pour y parvenir, il faut d’abord lentement et patiemment murir son projet dans sa tête. Projet qui doit, comme le dit Confucius, vous procurez du plaisir. Le choix du sujet abordé dans votre podcast sera donc fondamental. Si vous l’appréciez, vous ne l’apprécierez que davantage lorsqu'il s'agira de le concrétiser. Donc, d’abord, le choix du bon sujet est primordial parce que de votre choix dépendra à la longévité de votre production. Bref, ne pas s’enfermer dans quelque chose que l'on n’a pas envie de faire.
#2 Créer un squelette
C’est le modus operandi de la production de votre podcast. Le mode d’emploi. On y trouve des règles, un processus d’action, une façon de faire… qui seront répétés tous les jours, toutes les semaines ou tous les mois. Si vous respectez ces règles, vous allez installer très rapidement des habitudes. Et les habitudes, c’est bon pour être certain d’entamer un voyage au long cours. Sans habitudes pas (ou peu) de certitudes d’avenir.
#3 Être régulier
Dans la production, mais aussi plus encore dans les parutions, c’est-à-dire dans les publications de votre podcast sur une plateforme. Plus vous respecterez cette règle, plus, à l’autre bout de la chaîne, vous allez pouvoir créer des habitudes chez l’auditeur et, ainsi, le fidéliser. Donc, soyez régulier dans le rythme de publication. Soyez exigeant avec vous et donc avec vos auditeurs. Respecter un rythme de publication, c'est respecter ses auditeurs. La base donc !
#4 Muscler son catalogue
Plus vous proposerez des épisodes, plus vous générerez de l’audience. C’est mathématique. Donc, plus vous pourrez monétiser (rapidement) votre podcast. C’est vraiment une condition sine qua non. Plus votre catalogue sera dense, riche et varié, plus vous élargirez votre cercle d’auditeurs. Il faut comprendre qu’il faut beaucoup d’épisodes en ligne pour commencer à générer des revenus. C’est un frein, un dur retour à la réalité. Le podcast, c’est un peu comme les bonnes résolutions du 1er janvier. Beaucoup s’y aventurent. Très peu parvient à apercevoir la ligne d’arrivée.
#5 Comprendre la monétisation
C’est aussi la base. C’est même le premier conseil que vous devriez suivre. La première question que vous devriez vous poser. Si vous comprenez les mécanismes d’audience, votre podcast sera plus facile à commercialiser. Êtes-vous capable de générer un minimum de 5 000 lectures par épisode ? Oui ? C’est déjà un bon début ! Êtes-vous capable de comprendre qu’avec une audience de 5 000 lectures par épisode, vous allez générer (seulement) entre 70 et 80 euros ? Ou alors, êtes-vous capable de séduire une marque qui vous accompagnera à hauteur de 10 000 euros pour une seule série de podcast ?
#1 Choisir le bon sujet
Pour y parvenir, il faut d’abord lentement et patiemment murir son projet dans sa tête. Projet qui doit, comme le dit Confucius, vous procurez du plaisir. Le choix du sujet abordé dans votre podcast sera donc fondamental. Si vous l’appréciez, vous ne l’apprécierez que davantage lorsqu'il s'agira de le concrétiser. Donc, d’abord, le choix du bon sujet est primordial parce que de votre choix dépendra à la longévité de votre production. Bref, ne pas s’enfermer dans quelque chose que l'on n’a pas envie de faire.
#2 Créer un squelette
C’est le modus operandi de la production de votre podcast. Le mode d’emploi. On y trouve des règles, un processus d’action, une façon de faire… qui seront répétés tous les jours, toutes les semaines ou tous les mois. Si vous respectez ces règles, vous allez installer très rapidement des habitudes. Et les habitudes, c’est bon pour être certain d’entamer un voyage au long cours. Sans habitudes pas (ou peu) de certitudes d’avenir.
#3 Être régulier
Dans la production, mais aussi plus encore dans les parutions, c’est-à-dire dans les publications de votre podcast sur une plateforme. Plus vous respecterez cette règle, plus, à l’autre bout de la chaîne, vous allez pouvoir créer des habitudes chez l’auditeur et, ainsi, le fidéliser. Donc, soyez régulier dans le rythme de publication. Soyez exigeant avec vous et donc avec vos auditeurs. Respecter un rythme de publication, c'est respecter ses auditeurs. La base donc !
#4 Muscler son catalogue
Plus vous proposerez des épisodes, plus vous générerez de l’audience. C’est mathématique. Donc, plus vous pourrez monétiser (rapidement) votre podcast. C’est vraiment une condition sine qua non. Plus votre catalogue sera dense, riche et varié, plus vous élargirez votre cercle d’auditeurs. Il faut comprendre qu’il faut beaucoup d’épisodes en ligne pour commencer à générer des revenus. C’est un frein, un dur retour à la réalité. Le podcast, c’est un peu comme les bonnes résolutions du 1er janvier. Beaucoup s’y aventurent. Très peu parvient à apercevoir la ligne d’arrivée.
#5 Comprendre la monétisation
C’est aussi la base. C’est même le premier conseil que vous devriez suivre. La première question que vous devriez vous poser. Si vous comprenez les mécanismes d’audience, votre podcast sera plus facile à commercialiser. Êtes-vous capable de générer un minimum de 5 000 lectures par épisode ? Oui ? C’est déjà un bon début ! Êtes-vous capable de comprendre qu’avec une audience de 5 000 lectures par épisode, vous allez générer (seulement) entre 70 et 80 euros ? Ou alors, êtes-vous capable de séduire une marque qui vous accompagnera à hauteur de 10 000 euros pour une seule série de podcast ?
Des idées à creuser...
Je n’ai pas voulu ici aborder précisément le sujet de cette Room qui s’articule autour des supports commercialisés pour accroitre vos revenus. Mais en vous remuant un peu les méninges, vous devriez forcément accoucher de quelques idées : un appel financier auprès de votre communauté, des tee-shirts aux couleurs de votre podcast que vous commercialisez, l’édition d’ouvrages en lien avec un podcast (comme le fait Binge Audio), la mise en place d’abonnements en lien avec des plateformes comme Apple Podcasts, un site web avec des contenus rédactionnels proposés à la vente, l’organisation d’événements avec votre communauté, la signature avec un studio pour produire un podcast exclusif, convaincre un annonceur de vous accompagner… Vous le constatez les leviers de développement sont très nombreux…
Je n’ai pas voulu ici aborder précisément le sujet de cette Room qui s’articule autour des supports commercialisés pour accroitre vos revenus. Mais en vous remuant un peu les méninges, vous devriez forcément accoucher de quelques idées : un appel financier auprès de votre communauté, des tee-shirts aux couleurs de votre podcast que vous commercialisez, l’édition d’ouvrages en lien avec un podcast (comme le fait Binge Audio), la mise en place d’abonnements en lien avec des plateformes comme Apple Podcasts, un site web avec des contenus rédactionnels proposés à la vente, l’organisation d’événements avec votre communauté, la signature avec un studio pour produire un podcast exclusif, convaincre un annonceur de vous accompagner… Vous le constatez les leviers de développement sont très nombreux…
Douze métiers, treize misères ?
Il y aurait tant de choses à dire sur la façon de monétiser son podcast et ainsi de compléter ses revenus. Il n’y a pas de recette miracle. Probablement, un tour de main commun au monde du podcast mais différent chez chaque podcasteur. Ce qui vous rassemble entre podcasteurs, ce sont les ingrédients de cette recette qui sont identiques. Le reste donc, c'est le tour de main. Dans tous les cas, il faut être motivé. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu'il faut avoir de la volonté. La volonté, c’est un peu comme un muscle. Il faut souvent l’entraîner pour la développer. Ce n’est pas si simple. D’autant que cette volonté, pour qu'elle produise son effet, doit se combiner avec d’autres qualités trop souvent mises de coté : la curiosité et surtout l’énergie autrement dit, la force physique ("Un esprit sain, dans un corps sain" en quelques sorte). Si vous êtes en bonne santé, vous aurez de l’énergie et donc vous pourrez mener de front deux, trois ou même quatre activités physiques comme intellectuelles… Produire un, deux ou trois podcasts simultanément et en faire un complément de revenus. À vous de jouer !
Il y aurait tant de choses à dire sur la façon de monétiser son podcast et ainsi de compléter ses revenus. Il n’y a pas de recette miracle. Probablement, un tour de main commun au monde du podcast mais différent chez chaque podcasteur. Ce qui vous rassemble entre podcasteurs, ce sont les ingrédients de cette recette qui sont identiques. Le reste donc, c'est le tour de main. Dans tous les cas, il faut être motivé. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu'il faut avoir de la volonté. La volonté, c’est un peu comme un muscle. Il faut souvent l’entraîner pour la développer. Ce n’est pas si simple. D’autant que cette volonté, pour qu'elle produise son effet, doit se combiner avec d’autres qualités trop souvent mises de coté : la curiosité et surtout l’énergie autrement dit, la force physique ("Un esprit sain, dans un corps sain" en quelques sorte). Si vous êtes en bonne santé, vous aurez de l’énergie et donc vous pourrez mener de front deux, trois ou même quatre activités physiques comme intellectuelles… Produire un, deux ou trois podcasts simultanément et en faire un complément de revenus. À vous de jouer !
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