
Laurent Guimier a été nommé à la tête des stations du groupe Lagardère en mai dernier / Photo Pierre Olivier / Capa
LLPR - Vous avez bénéficié d’une couverture presse impressionnante en cette rentrée, notamment avec l’arrivée de Nikos Aliagas à la matinale. Est-ce de nature à vous mettre la pression ou au contraire à vous motiver ?
Laurent Guimier - Nikos Aliagas est à Europe 1 depuis 8 ans, il fait partie de la famille. Ce n’est pas quelqu’un qui débarque de la Lune, de TF1 ou de je ne sais où. C’est un membre de la famille d’Europe 1 qui passe du week-end au prime time qu’est la matinale. Nikos incarne ce qu’est Europe 1, une radio positive, élégante, moderne, prescriptrice et innovante.
Après, je lis tout, je regarde tout et j’entends tout, mais je ne suis pas sujet aux pressions. Nous construisons, avec l’équipe, un projet, patiemment, sans faire de promesses inconsidérées, sans réclamer du temps ou des délais. En revanche, nous avons des convictions profondes : la simplicité et la lisibilité de la grille, la relation permanente avec les auditeurs, le dynamisme, la bienveillance et le positif qui doivent irriguer toute la grille. Qu’Europe 1 sourie à nouveau et se prenne moins au sérieux, c’est exactement ce que je veux. On aime ou on n’aime pas. Mais ce qui est important, c’est que nos auditeurs partis, pas très loin, reviennent. La pression est la contrepartie de la liberté de la presse ! Toutes les critiques positives ou négatives, je les prends aussi comme des indicateurs.
Laurent Guimier - Nikos Aliagas est à Europe 1 depuis 8 ans, il fait partie de la famille. Ce n’est pas quelqu’un qui débarque de la Lune, de TF1 ou de je ne sais où. C’est un membre de la famille d’Europe 1 qui passe du week-end au prime time qu’est la matinale. Nikos incarne ce qu’est Europe 1, une radio positive, élégante, moderne, prescriptrice et innovante.
Après, je lis tout, je regarde tout et j’entends tout, mais je ne suis pas sujet aux pressions. Nous construisons, avec l’équipe, un projet, patiemment, sans faire de promesses inconsidérées, sans réclamer du temps ou des délais. En revanche, nous avons des convictions profondes : la simplicité et la lisibilité de la grille, la relation permanente avec les auditeurs, le dynamisme, la bienveillance et le positif qui doivent irriguer toute la grille. Qu’Europe 1 sourie à nouveau et se prenne moins au sérieux, c’est exactement ce que je veux. On aime ou on n’aime pas. Mais ce qui est important, c’est que nos auditeurs partis, pas très loin, reviennent. La pression est la contrepartie de la liberté de la presse ! Toutes les critiques positives ou négatives, je les prends aussi comme des indicateurs.