Pour le nouveau ministre, "la publicité n’est pas la priorité sur les groupes audiovisuels publics".
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Franck Riester connaît bien ce grand dossier de l'audiovisuel qu'il a trouvé sur son bureau au ministère de la Culture. Dans une interview accordée à Francer Inter ce mardi matin, le nouveau ministre s'est largement exprimé sur les contours d'une future réforme annoncée pour le printemps et initiée par Françoise Nyssen.
Sur l'audiovisuel public, ce grand partisan d'une "BBC à la française", explique que tous les groupes publics et privés "s’organisent pour tenir compte de la révolution numérique, en se rapprochant, en travaillant davantage ensemble, en mobilisant des moyens communs. Il faut absolument se rapprocher". Pour lui,"le point d’arrivée de tous ces partenariats, ça doit être un groupe capable de répondre aux objectifs d’adaptation aux usages. nous avons besoin d’un audiovisuel fort, ambitus, qui réponde aux demandes de nos compatriotes".
Sur l'audiovisuel public, ce grand partisan d'une "BBC à la française", explique que tous les groupes publics et privés "s’organisent pour tenir compte de la révolution numérique, en se rapprochant, en travaillant davantage ensemble, en mobilisant des moyens communs. Il faut absolument se rapprocher". Pour lui,"le point d’arrivée de tous ces partenariats, ça doit être un groupe capable de répondre aux objectifs d’adaptation aux usages. nous avons besoin d’un audiovisuel fort, ambitus, qui réponde aux demandes de nos compatriotes".
Vers une suppression de la publicité sur le service public ?
Ajoutant une très rassurante phrase pour les patrons des sociétés du service public que "l'enjeu est de ne surtout pas entrer sur les questions de réforme de l'audiovisuel public sur le seul champ budgétaire".
Concernant la publicité sur l'audiovisuel public, alors que le rapport Bergé préconise la suppression sur Radio France et France 5, le nouveau locataire de la rue de Valois estime que "la publicité n’est pas la priorité sur les groupes audiovisuels publics. J’étais favorable à une spécificité de l’audiovisuel public qui permette de ne pas avoir de publicité. Il y a un modèle actuel qui mêle publicité et redevance. Ce modèle, sur le temps long, mérite d’évoluer et de revenir à des fondamentaux, il faut qu’on entende la différence. La différence, on l’entend aussi par l’absence de publicité".
Concernant la publicité sur l'audiovisuel public, alors que le rapport Bergé préconise la suppression sur Radio France et France 5, le nouveau locataire de la rue de Valois estime que "la publicité n’est pas la priorité sur les groupes audiovisuels publics. J’étais favorable à une spécificité de l’audiovisuel public qui permette de ne pas avoir de publicité. Il y a un modèle actuel qui mêle publicité et redevance. Ce modèle, sur le temps long, mérite d’évoluer et de revenir à des fondamentaux, il faut qu’on entende la différence. La différence, on l’entend aussi par l’absence de publicité".
.@FranckRiester : "Le point d'arrivée de tous les partenariats [dans l'audiovisuel public], ce doit être un groupe capable de répondre aux objectifs d'adaptation aux usages" #le79Inter pic.twitter.com/B0qFtCh39k
— France Inter (@franceinter) 23 octobre 2018