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Rappel des faits. Sur la base dès conclusions du CESP sur les agissements de Fun Radio, et après avoir conduit ses investigations, Mediametrie a constaté que ces agissements enfreignaient l'article 7 de son règlement et faussaient les résultats de la station, des autres radios et de manière plus générale, de plusieurs vagues de l’étude 126 000. Elle a décidé d'exclure la station de l'enquête avril/mai/juin 2016 et de corriger rétrospectivement l'enquête janvier/février/mars 2016. Les vagues Novembre/Décembre 2015 et Septembre/octobre 2015 sont également en cours d’analyses.
Une sous-évaluation des audiences
"Médiamétrie nous a informés de la méthode statistique de correction retenue, pour corriger, selon elle, les audiences de Fun Radio, sans toutefois évaluer les conséquences sur les autres radios. Or, les premières constations font apparaître que cette méthode telle qu’elle a été appliquée, a eu pour effet de sous évaluer fortement les résultats d’autres radios, notamment celles qui ont de nombreux auditeurs communs avec Fun Radio et qui perdent mécaniquement les déclarants annulés" (un auditeur écoute en moyenne 4 radios sur trois semaines) expliquent les radios privées.
Selon elles, "les audiences sont ainsi inférieures à l'audience réelle du fait du nombre de déclarants perdus. En conséquence, il nous est impossible d'analyser publiquement les chiffres de Médiamétrie. Contraints par ces faits sans précédents, nous renonçons à toute communication sur cette enquête" précisent les radios.
Selon elles, "les audiences sont ainsi inférieures à l'audience réelle du fait du nombre de déclarants perdus. En conséquence, il nous est impossible d'analyser publiquement les chiffres de Médiamétrie. Contraints par ces faits sans précédents, nous renonçons à toute communication sur cette enquête" précisent les radios.