"2014 restera un exercice de transition pour le Groupe NRJ. La conjoncture économique difficile a eu une incidence forte sur nos activités. Par ailleurs, la comptabilisation d’une dépréciation non courante sur les stocks de programmes du pôle TV a pesé sur nos résultats. Le travail de transformation réalisé en 2014 va se poursuivre tout au long de l’exercice 2015. Fort de notre solidité financière, nous réaffirmons l’objectif de consolider notre position de leader en radio et de conquérir de nouvelles parts d’audience en télévision" a expliqué Jean-Paul Baudecroux.
En 2014, dans un contexte économique difficile, le pôle Média Musicaux et Evènementiel a enregistré un chiffre d’affaires de 193,7 M€, en baisse de 4,2%. Toutefois, "ses fondamentaux restent solides" note NRJ Group : "les radios sont écoutées, chaque jour, par près de 12,4 millions d’auditeurs et NRJ qui a confirmé sa place de première radio de France avec 152 000 auditeurs d’avance sur le suivant réunit, chaque jour, 6 635 000 français"..
L’évolution du résultat opérationnel courant de la radio en France s’explique par "une baisse du chiffre d’affaires liée au contexte économique difficile qui a pesé sur les décisions d’achats des
annonceurs et sur une base de comparaison élevée : 3,7 M€ d’éléments positifs non récurrents en 2013".
L’évolution du résultat opérationnel courant de la radio en France s’explique par "une baisse du chiffre d’affaires liée au contexte économique difficile qui a pesé sur les décisions d’achats des
annonceurs et sur une base de comparaison élevée : 3,7 M€ d’éléments positifs non récurrents en 2013".
En 2015, le Groupe entend notamment faire progresser ses parts d’audience grâce à son vaisseau amiral NRJ et ses trois radios adultes (Radio Nostalgie, Chérie FM et Rire & Chansons) qui devraient récolter les fruits du travail éditorial entrepris depuis plusieurs mois.
Le groupe souhaite également "renforcer les moyens des équipes commerciales, dans un contexte soumis à des pressions économiques et concurrentielles, poursuivre ses investissements dans le numérique au sein de l’univers du divertissement"
Le groupe souhaite également "renforcer les moyens des équipes commerciales, dans un contexte soumis à des pressions économiques et concurrentielles, poursuivre ses investissements dans le numérique au sein de l’univers du divertissement"