"En matière de recrutement, je suis pour tout tester, tout tenter... Je suis un peu kamikaze" explique Laurent Ruquier dans le mensuel Management
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"A l'antenne, l'ambiance est à la rigolade. Mais en coulisses, s'il le faut, l'animateur sait aussi trouver les bons mots pour recadrer et remotiver ses troupes" indique Mangement.
"Quand il faut annoncer à quelqu'un qu'on arrête, je suis plutôt courageux car je déteste les situations floues" explique Laurent Ruquier. Et la concurrence ? "Qu'on débauche chez moi, je trouve ça normal, je l'ai fait et je le ferai aussi".
Le patron des Grosses Têtes avoue être "un chef plutôt cool" mais il sait aussi "hausser la voix si c'est nécessaire (...) Titoff par exemple, au bout de deux à trois retards, je suis obligé de lui dire : pour la peine, tu ne fais pas l'émission pendant deux semaines".
"Quand il faut annoncer à quelqu'un qu'on arrête, je suis plutôt courageux car je déteste les situations floues" explique Laurent Ruquier. Et la concurrence ? "Qu'on débauche chez moi, je trouve ça normal, je l'ai fait et je le ferai aussi".
Le patron des Grosses Têtes avoue être "un chef plutôt cool" mais il sait aussi "hausser la voix si c'est nécessaire (...) Titoff par exemple, au bout de deux à trois retards, je suis obligé de lui dire : pour la peine, tu ne fais pas l'émission pendant deux semaines".
En immersion avec l'équipe
Laurent Ruquier a aussi d'autres techniques pour souder son équipe : "c'est vrai que c'est utile de sortir du cadre de travail pour mieux se connaître et installer une vraie complicité. C'est une partie essentielle du management : rire ensemble, découvrir la personnalité de l'autre, partager des choses autres que le travail". Pour l'animateur, l'idée d'organiser des dîners ou des séjours avec son équipe, c'est aussi une façon de faire du Team Bulding : "Plus on fait de choses ensemble en dehors, mieux c'est pour l'émission : ça nous fait des conneries à raconter à l'antenne" justifie Ruquier.















