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Emmanuel Rials est très fâché contre BFM Business, qui annonçait ce matin que Ouï FM était à vendre. Il dément fermement cette info.
"Contrairement aux allégations erronées de BFM BUSINESS, si OÜI FM attise toujours autant les convoitises, la radio n’est pas à vendre", écrit-il. "Les données financières présentées dans cet article ne sont pas plus exactes que les allégations sur son développement". Voilà qui a le mérite d'être clair.
"Si l’audience cumulée parisienne subit des variations à la hausse et à la baisse selon les sondages depuis une quinzaine d’années, à l’instar de nombreux confrères musicaux, sa part d’audience parisienne est stable et son audience nationale est en progression constante". En effet, un coup d'oeil sur les sondages confirment cette précision.
"Si l’audience cumulée parisienne subit des variations à la hausse et à la baisse selon les sondages depuis une quinzaine d’années, à l’instar de nombreux confrères musicaux, sa part d’audience parisienne est stable et son audience nationale est en progression constante". En effet, un coup d'oeil sur les sondages confirment cette précision.
Une opération de "confrère bashing"
"Enfin, les relations de OÜI FM avec le CSA sont excellentes, studieuses, et constructives ; OÜI FM a ainsi développé son réseau avec 15 nouvelles fréquences FM et 2 fréquences RNT en région, en participant comme toutes les radios aux appels aux candidatures lancés par le CSA ; le succès de son programme en province est d’ailleurs en constante progression".
Emmanuel Rials n'a pas du tout apprécié cette charge contre sa radio, et sa contre-attaque est cinglante : "Depuis déjà longtemps, ce journaliste de BFM BUSINESS adopte une politique systématique de « confrère bashing » (la radio BFM BUSINESS appartient au groupe RMC) dont on pourrait utilement s’interroger sur l’objectif radiophonique. L’attitude volontaire de OÜI FM pour le développement de la RNT en France (auquel RMC est opposée) suscite des dérives inacceptables."
Emmanuel Rials n'a pas du tout apprécié cette charge contre sa radio, et sa contre-attaque est cinglante : "Depuis déjà longtemps, ce journaliste de BFM BUSINESS adopte une politique systématique de « confrère bashing » (la radio BFM BUSINESS appartient au groupe RMC) dont on pourrait utilement s’interroger sur l’objectif radiophonique. L’attitude volontaire de OÜI FM pour le développement de la RNT en France (auquel RMC est opposée) suscite des dérives inacceptables."
Les revenus publicitaires de Radio France resteront plafonnés
