Alouette est la seule radio en région à atteindre le point d'audinec et se positionner comme la première radio régionale de France
LLP - Alouette toujours à 1 point d'audience cumulée, toujours cette belle performance et cette stabilité au sein des Indés Radios ?
SB - C'est bien de le souligner car effectivement Alouette rassemble plus de 500.000 auditeurs sur un bassin d'environ 5 millions d'habitants, cela représente 10% de pénétration. A part RTL, NRJ et quelque fois Europe 1 ou France Inter, peu de radios atteignent cette performance. On a gagné 9000 auditeurs depuis l'année dernière.
LLP - Une belle durée d'écoute de 1h43 également, tout comme l'ensemble des Indés Radios.
SB - Alouette est une radio musicale mais c'est aussi une radio de contenu avec de l'information, c'est ce qui explique ce chiffre. Cela nous permet d'atteindre une PDA de 0.7, certes modeste au niveau national, mais qui n'est pas inintéressante par rapport à la taille de notre bassin de population.
SB - C'est bien de le souligner car effectivement Alouette rassemble plus de 500.000 auditeurs sur un bassin d'environ 5 millions d'habitants, cela représente 10% de pénétration. A part RTL, NRJ et quelque fois Europe 1 ou France Inter, peu de radios atteignent cette performance. On a gagné 9000 auditeurs depuis l'année dernière.
LLP - Une belle durée d'écoute de 1h43 également, tout comme l'ensemble des Indés Radios.
SB - Alouette est une radio musicale mais c'est aussi une radio de contenu avec de l'information, c'est ce qui explique ce chiffre. Cela nous permet d'atteindre une PDA de 0.7, certes modeste au niveau national, mais qui n'est pas inintéressante par rapport à la taille de notre bassin de population.
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LLP _ Cela doit plaire aux annonceurs...
SB - Et pour un directeur de programmes c'est très rassurant car cela montre que notre programme plaît ! On retrouve encore nos trois pics d'audience, sur la matinale, le début de soirée et la seconde partie de matinée. C'est donc très rassurant même s'il faut rester prudent car rien n'est acquis, on le sait.
LLP - Est ce qu'il y a eu des modifications depuis la rentrée sur les programmes ?
SB - Sur la musique, on s'adapte aux tendances musicales du moment. Si un style musical devient plus à la mode, on le saupoudre davantage dans la programmation.
Sur les contenus, il y a eu quelques changements au sein de la rédaction, certains journalistes ont été remplacés, cela peut avoir un impact sur la matinale par exemple. On voit ici que le moule est plutôt bien construit puisqu'il n'y a pas eu d'incidence sur l'audience.
LLP - Quels sont les futurs axes de développement d'Alouette ?
SB - L'objectif est tout d'abord de maintenir les acquis. C'est la 6ème année que nous sommes numéro 1 des Indés Radios, le plus difficile c'est de maintenir. Il ne faut pas se leurrer, nous n'allons pas atteindre 800.000 auditeurs, nous sommes déjà à pleine vitesse. C'est déjà un très beau résultat si nous réussissons à nous maintenir à ce niveau sur une année.
LLP - Récemment, Tempo, qui diffuse Alouette en Bretagne, a été mise en demeure pour ne pas respecter ses obligations en matière de programmes locaux. Atteint-on les limites des syndications entre radios de catégorie B ?
SB - La reprise de Tempo est relativement récente et il y a des ajustements à faire. Dans ce genre de situation, il faut laisser un peu de temps aux stations pour que les choses se mettent en place. En ce qui concerne Tempo, cette mise en demeure est bien présente, et nous réagissons en conséquence en adaptant le programme pour que tout le monde y trouve son compte. La difficulté dans ces reprises de stations est de proposer quelque chose dans la patte de notre programme tout en étant suffisamment intéressant pour être écouté par les auditeurs sur leur zone d'écoute.
LLP - Un dernier mot ?
SB - Un grand bravo à toutes les équipes d'Alouette, qui est une belle entreprise dirigée par un bon président. C'est une réussite collective, tout le monde se réjouit et nous attendons tous la prochaine vague, car il faut maintenir les acquis et donc toujours se projeter sur la vague suivante.
SB - Et pour un directeur de programmes c'est très rassurant car cela montre que notre programme plaît ! On retrouve encore nos trois pics d'audience, sur la matinale, le début de soirée et la seconde partie de matinée. C'est donc très rassurant même s'il faut rester prudent car rien n'est acquis, on le sait.
LLP - Est ce qu'il y a eu des modifications depuis la rentrée sur les programmes ?
SB - Sur la musique, on s'adapte aux tendances musicales du moment. Si un style musical devient plus à la mode, on le saupoudre davantage dans la programmation.
Sur les contenus, il y a eu quelques changements au sein de la rédaction, certains journalistes ont été remplacés, cela peut avoir un impact sur la matinale par exemple. On voit ici que le moule est plutôt bien construit puisqu'il n'y a pas eu d'incidence sur l'audience.
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SB - L'objectif est tout d'abord de maintenir les acquis. C'est la 6ème année que nous sommes numéro 1 des Indés Radios, le plus difficile c'est de maintenir. Il ne faut pas se leurrer, nous n'allons pas atteindre 800.000 auditeurs, nous sommes déjà à pleine vitesse. C'est déjà un très beau résultat si nous réussissons à nous maintenir à ce niveau sur une année.
LLP - Récemment, Tempo, qui diffuse Alouette en Bretagne, a été mise en demeure pour ne pas respecter ses obligations en matière de programmes locaux. Atteint-on les limites des syndications entre radios de catégorie B ?
SB - La reprise de Tempo est relativement récente et il y a des ajustements à faire. Dans ce genre de situation, il faut laisser un peu de temps aux stations pour que les choses se mettent en place. En ce qui concerne Tempo, cette mise en demeure est bien présente, et nous réagissons en conséquence en adaptant le programme pour que tout le monde y trouve son compte. La difficulté dans ces reprises de stations est de proposer quelque chose dans la patte de notre programme tout en étant suffisamment intéressant pour être écouté par les auditeurs sur leur zone d'écoute.
LLP - Un dernier mot ?
SB - Un grand bravo à toutes les équipes d'Alouette, qui est une belle entreprise dirigée par un bon président. C'est une réussite collective, tout le monde se réjouit et nous attendons tous la prochaine vague, car il faut maintenir les acquis et donc toujours se projeter sur la vague suivante.