LLPR - La saison radiophonique 2015-2016 arrive à terme, quel bilan en tirez-vous, vu du CSA ?
PG - Les résultats décevants des dernières vagues d’audiences des radios doivent les conduire à mieux s’adapter à l’évolution de la demande. Cela passe par un renouvellement de leurs formats et par la modernisation de leurs modes de diffusion en tirant les conséquences de la saturation de la bande FM sur laquelle il leur est de plus en plus difficile de se développer. C’est l’une des raisons pour lesquelles, en décembre 2015, le Conseil a rendu public un calendrier de redéploiement de la Radio Numérique Terrestre qui doit lui permettre de couvrir l’intégralité du territoire métropolitain d’ici à 2023. C’est ainsi qu’en juin, nous avons lancé les premiers appels à candidatures de ce calendrier à Strasbourg, Lille et Lyon.
PG - Les résultats décevants des dernières vagues d’audiences des radios doivent les conduire à mieux s’adapter à l’évolution de la demande. Cela passe par un renouvellement de leurs formats et par la modernisation de leurs modes de diffusion en tirant les conséquences de la saturation de la bande FM sur laquelle il leur est de plus en plus difficile de se développer. C’est l’une des raisons pour lesquelles, en décembre 2015, le Conseil a rendu public un calendrier de redéploiement de la Radio Numérique Terrestre qui doit lui permettre de couvrir l’intégralité du territoire métropolitain d’ici à 2023. C’est ainsi qu’en juin, nous avons lancé les premiers appels à candidatures de ce calendrier à Strasbourg, Lille et Lyon.