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Aux Trans Musicales de Rennes, Camille Froger, directrice de Ferarock, en grande conversation avec Yves Bommenel, président du Syndicat des Musiques Actuelles (SMA).
"Tout a commencé en 1991, aux États Généraux du Rock, à Montpellier." Clara Dhilly est l'une des deux salariées de l'association. Son job : la communication et les partenariats. Elle est visiblement comme un poisson dans l'eau chez Ferarock, dont le siège est basé à Rennes. Il faut dire qu'elle défend quelque chose d'assez rare dans le monde de la radio en France : des radios de programmateurs et de pur parti pris.
Aujourd'hui, le secteur de la radiodiffusion se porte très bien dans notre pays. Les Français peuvent profiter de l'un des paysages les plus riches d'Europe. Et pour toucher un public aussi large que possible, la plupart des radios font appel au marketing et aux études musicales pour cibler très précisément les goûts du public qu'elles veulent séduire.
Résultat : on entend un peu partout les mêmes tubes. Ceux que le grand public veut entendre. Pire : les études musicales montrent que la nouveauté n'est en réalité pas vraiment un levier d'audience, au contraire. Le public a tendance à zapper une mélodie ou une chanson qu'il ne connaît pas.
Aujourd'hui, le secteur de la radiodiffusion se porte très bien dans notre pays. Les Français peuvent profiter de l'un des paysages les plus riches d'Europe. Et pour toucher un public aussi large que possible, la plupart des radios font appel au marketing et aux études musicales pour cibler très précisément les goûts du public qu'elles veulent séduire.
Résultat : on entend un peu partout les mêmes tubes. Ceux que le grand public veut entendre. Pire : les études musicales montrent que la nouveauté n'est en réalité pas vraiment un levier d'audience, au contraire. Le public a tendance à zapper une mélodie ou une chanson qu'il ne connaît pas.
