Le Site
David Tartar (à gauche) et l'équipe de Reelworld.
LLPR : Vous avez installé Reelworld en France il y a 3 ans, quel bilan faites-vous ?
David Tartar : "C’est effectivement un bilan très positif. Depuis février 2013, nous avons convaincu près de 25 radios nationales et régionales, que nous avons toutes fidélisées. Parmi les dernières productions de Reelworld France, nous avons Radio Scoop, Hot radio, Ado FM, Blackbox, les power intros de Fun Radio, Mona FM… Cela s’ajoute à de nombreuses grandes radios européennes que nous avons en portefeuille, comme Big FM (Allemagne), Heart (UK), Los 40 (Espagne), Kiss (UK), Veronica (Hollande)…"
Vous avez une structure centralisée à Seattle (États-Unis) et Manchester (Royaume-Uni), comment vous êtes-vous adapté au marché français ?
"Nous proposons différentes offres : des créations nouvelles à 100% (customs), des adaptations de jingles existants qui ont déjà fait leurs preuves ailleurs (resing). Après étude des besoins de la radio, nous produisons toujours avec la même qualité. C'est impératif."
Cela fait 25 ans que vous êtes dans la production d’habillages pour les radios, quelles sont les tendances actuelles et comment évolue la demande des directeurs d’antenne ?
"Il est vrai que les formats des radios bougent, notamment les radios locales et régionales. Auparavant, nous avions beaucoup de demandes pour les formats CHR (Contempory Hit Radio), alors que nous constatons une tendance à passer au format Hot AC (Hot Adult Contempory). C’est vraiment une évolution remarquée en 2015 dans les demandes que nous recevons, notamment des radios membres du GIE Les Indés Radios. Par exemple, certaines radios nous demandent des jingles avec moins d’effets sur les voix, des lignes plus mélodiques. L’audience de la radio vieillit et les patrons en tiennent compte."
David Tartar : "C’est effectivement un bilan très positif. Depuis février 2013, nous avons convaincu près de 25 radios nationales et régionales, que nous avons toutes fidélisées. Parmi les dernières productions de Reelworld France, nous avons Radio Scoop, Hot radio, Ado FM, Blackbox, les power intros de Fun Radio, Mona FM… Cela s’ajoute à de nombreuses grandes radios européennes que nous avons en portefeuille, comme Big FM (Allemagne), Heart (UK), Los 40 (Espagne), Kiss (UK), Veronica (Hollande)…"
Vous avez une structure centralisée à Seattle (États-Unis) et Manchester (Royaume-Uni), comment vous êtes-vous adapté au marché français ?
"Nous proposons différentes offres : des créations nouvelles à 100% (customs), des adaptations de jingles existants qui ont déjà fait leurs preuves ailleurs (resing). Après étude des besoins de la radio, nous produisons toujours avec la même qualité. C'est impératif."
Cela fait 25 ans que vous êtes dans la production d’habillages pour les radios, quelles sont les tendances actuelles et comment évolue la demande des directeurs d’antenne ?
"Il est vrai que les formats des radios bougent, notamment les radios locales et régionales. Auparavant, nous avions beaucoup de demandes pour les formats CHR (Contempory Hit Radio), alors que nous constatons une tendance à passer au format Hot AC (Hot Adult Contempory). C’est vraiment une évolution remarquée en 2015 dans les demandes que nous recevons, notamment des radios membres du GIE Les Indés Radios. Par exemple, certaines radios nous demandent des jingles avec moins d’effets sur les voix, des lignes plus mélodiques. L’audience de la radio vieillit et les patrons en tiennent compte."
