Le CSA s'occupe du Pmux

Rédigé par le Mardi 21 Juillet 2015 à 08:00 | modifié le Mardi 21 Juillet 2015 à [HEURE]


Dans le cadre de la contribution à l’UIT relative aux conséquences de la puissance multiplex sur la qualité sonore, l'Assemblée plénière du CSA a décidé que le Conseil allait transmettre à l’Agence nationale des fréquences (ANFR) une étude portant sur les conséquences de la puissance multiplex sur la qualité sonore, en vue d’une contribution auprès de l’Union internationale des télécommunications (UIT).



Cette étude met en avant une dégradation de la qualité sonore pour une puissance multiplex supérieure à 5dBr.
Le but est donc de limiter la puissance du son diffusé par les radios. Au-delà des limites qualifiées de normales, un son trop fort entraine une forte distorsion et une fatigue auditive rapide. Autre conséquences, une forte dégradation de la zone d'écoute, une fragilité du signal HF de toutes les radios environnantes (zones géographiques environnantes mais aussi sur la même zone géographique) en se fragilisant aussi elles mêmes par leur propre signal. (Merci à Philippe Chambon pour ses explications).

Journaliste spécialisé média, photographe et ancien Co-créateur de Satellifax. Gérant de… En savoir plus sur cet auteur
Dans la même rubrique :