Très tôt, la radio s’impose comme une évidence. À neuf ans, Frank Lanoux construit Radio Soleil dans son placard de lycéen à Versailles, sur des cassettes que personne n’écoutera. Mais déjà l’envie est là. "J’écrivais sur les petites fiches, quand on me disait qu’est-ce que vous voulez faire plus tard, je répondais journaliste à Europe 1", se souvient-il.
Cette passion, il la transforme vite en opportunité. À vingt ans, lors d’une soirée chez Claude Nougaro, il ose aborder Patrick Meyer, patron de RFM. "Un môme comme ça, qui me parle de radio comme vous m’avez parlé de radio, je le prends", lui dira plus tard Meyer. Lanoux entre dans la maison et n’en ressortira plus.
Cette passion, il la transforme vite en opportunité. À vingt ans, lors d’une soirée chez Claude Nougaro, il ose aborder Patrick Meyer, patron de RFM. "Un môme comme ça, qui me parle de radio comme vous m’avez parlé de radio, je le prends", lui dira plus tard Meyer. Lanoux entre dans la maison et n’en ressortira plus.







