Elle n’a ni ligne éditoriale ni directive technique. À l’Acentrale, chacun fait ce qui lui plaît. Sous son air peu cadré, "la radio des luttes sociales", comme aiment à la définir ceux qui la font, est malgré tout une radio bien organisée. Elle se déploie sur tout le territoire national, et même au-delà.
La radio se revendique "acentralisée", c’est-à-dire qu’elle est dénuée de toute décision venue d’une voix. "Nous voulons que notre radio soit faite par tous", explique Quentin Hernandez, jeune journaliste de profession et assidu des antennes de l’Acentrale. Cela donne à entendre de tout, pas avec la même qualité tout le temps et partout. C’est fonction des animateurs des différents points d’écoute, de leurs connaissances, de leurs moyens de production et de diffusion.
La radio se revendique "acentralisée", c’est-à-dire qu’elle est dénuée de toute décision venue d’une voix. "Nous voulons que notre radio soit faite par tous", explique Quentin Hernandez, jeune journaliste de profession et assidu des antennes de l’Acentrale. Cela donne à entendre de tout, pas avec la même qualité tout le temps et partout. C’est fonction des animateurs des différents points d’écoute, de leurs connaissances, de leurs moyens de production et de diffusion.