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Brad Hill et Kurt Hanson, éditeurs de RAIN Enterprises, à l'ouverture du Rain Summit Europe le 9 novembre 2015 - © Olivier Oddou
La semaine dernière, et comme chaque année, le groupe américain RAIN (pour Radio and Internet News) organisait à Londres son sommet européen sur la radio et l'écoute audio numérique. En une journée, de nombreux acteurs européens et américains sont intervenus lors de conférences, panels et keynotes pour présenter un état des lieux de la radio et des modes d'écoute audio dans un monde IP.
Spotify for Brands, la branche commerciale du leader mondial du streaming musical, a lancé les hostilités en présentant une étude pan-européenne de l'écoute de ses services. La société suédoise a souligné la forte complémentarité du streaming musical à côté de la radio traditionnelle, en Espagne et au Royaume-Uni notamment. En France, le streaming reste concurrencé par la force de ses réseaux musicaux nationaux et par Deezer, toujours leader. Spotify a souligné d'autre part que l'écoute en streaming est plus prescriptrice d'achat que l'écoute radio, notamment grâce au profilage des auditeurs (son âge, son sexe etc) et de ses habitudes d'écoute (en faisant du sport, sous sa douche, etc.).
Spotify for Brands, la branche commerciale du leader mondial du streaming musical, a lancé les hostilités en présentant une étude pan-européenne de l'écoute de ses services. La société suédoise a souligné la forte complémentarité du streaming musical à côté de la radio traditionnelle, en Espagne et au Royaume-Uni notamment. En France, le streaming reste concurrencé par la force de ses réseaux musicaux nationaux et par Deezer, toujours leader. Spotify a souligné d'autre part que l'écoute en streaming est plus prescriptrice d'achat que l'écoute radio, notamment grâce au profilage des auditeurs (son âge, son sexe etc) et de ses habitudes d'écoute (en faisant du sport, sous sa douche, etc.).
