LLP - Comment va Radio Classique aujourd'hui ?
EM - Elle va bien. Francis Morel, le président (de la radio, mais aussi des Échos) disait ce matin que tous les indicateurs sont au vert. L'audience fonctionne bien et on ressent une vraie adhésion de nos auditeurs à la fois à la programmation, à la musique, aux animateurs et à l'information. Les tranches d'information marchent bien, mais nous devons garder un bon équilibre. Il ne faut pas que l'information envahisse la radio. Elle a sa place le matin, le soir et le reste du temps mais c'est priorité à la musique. Il y a vraiment deux radios en une.
LLP - Les grandes signatures présentes à l'antenne apportent-elle un plus à la radio ?
EM - Oui, mais ce sont d'abord de bons journalistes, Poivre, Claire Chazal, Guillaume Durand.
LLP - Radio Classique ne diffuse que de la musique classique...
EM - Nous sommes vigilants sur ce point car c'est notre ADN. Nous sommes appréciés par nos auditeurs pour cela et nous n'avons pas de raison d'en sortir. Dans la journée, nous avons une programmation délibérément grand public, mais le soir, avec nos grands concerts, nous diffusons des oeuvres plus difficiles. C'est un bon équilibre.
EM - Elle va bien. Francis Morel, le président (de la radio, mais aussi des Échos) disait ce matin que tous les indicateurs sont au vert. L'audience fonctionne bien et on ressent une vraie adhésion de nos auditeurs à la fois à la programmation, à la musique, aux animateurs et à l'information. Les tranches d'information marchent bien, mais nous devons garder un bon équilibre. Il ne faut pas que l'information envahisse la radio. Elle a sa place le matin, le soir et le reste du temps mais c'est priorité à la musique. Il y a vraiment deux radios en une.
LLP - Les grandes signatures présentes à l'antenne apportent-elle un plus à la radio ?
EM - Oui, mais ce sont d'abord de bons journalistes, Poivre, Claire Chazal, Guillaume Durand.
LLP - Radio Classique ne diffuse que de la musique classique...
EM - Nous sommes vigilants sur ce point car c'est notre ADN. Nous sommes appréciés par nos auditeurs pour cela et nous n'avons pas de raison d'en sortir. Dans la journée, nous avons une programmation délibérément grand public, mais le soir, avec nos grands concerts, nous diffusons des oeuvres plus difficiles. C'est un bon équilibre.