
Roselyne Bachelot prend ses marques au micro de la radio aux 3 612 000 auditeurs. (Sources Médiamétrie/juillet-août 2016) © ABACAPRESS/RMC.
Passée des rentrées politiques aux rentrées polémiques, Roselyne Bachelot incarne cette année la petite révolution de RMC. Les dirigeants de la station avaient déjà sondé la Nivernaise, de passage sur le plateau de Ruth Elkrief sur BFM ou aux Grandes Gueules, "on s'était reniflés", s'amuse la nouvelle coqueluche. Adieu donc le talk-show libertin de l'inamovible Brigitte Lahaie, avec qui la passation de pouvoir s'est faite en douceur.
"On ne veut pas d'eau sucrée, m'a dit Frank Lanoux [le directeur général de NextRadioTV]", confie l'intéressée, censée rendre une certaine cohérence à la grille de la généraliste privée. "Je dois clore la grande séquence d'information de la station." Elle commence à 4h30 avec Bourdin direct, puis les GG et Éric Brunet. La direction voit en Roselyne Bachelot la signature capable d'incarner son ADN : l'opinion, le débat d'idées.
"On ne veut pas d'eau sucrée, m'a dit Frank Lanoux [le directeur général de NextRadioTV]", confie l'intéressée, censée rendre une certaine cohérence à la grille de la généraliste privée. "Je dois clore la grande séquence d'information de la station." Elle commence à 4h30 avec Bourdin direct, puis les GG et Éric Brunet. La direction voit en Roselyne Bachelot la signature capable d'incarner son ADN : l'opinion, le débat d'idées.
"On ne veut pas d'eau sucrée, m'a dit Frank Lanoux"