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Mercredi 30 Septembre 2015 - 07:30

Les quotas s'invitent dans le 20h de TF1


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"Pour un artiste passer à la radio, c'est essentiel" a rappelé Pascal Nègre, le patron d'Universal Music qui soutient l'amendement de l'Etat. De son côté, Morgan Serrano, directeur délégué des médias musicaux du groupe NRJ, veut continuer à programmer les titres qui sont appréciés par les auditeurs et ne veut surtout pas de nouvelles contraintes juridiques.






Frédéric Brulhatour
Brulhatour est le rédacteur en chef du magazine La Lettre Pro de la Radio et le directeur associé... En savoir plus sur cet auteur



1.Posté par Didier Oh le 10/10/2015 08:14 | Alerter
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Plus de titres dans la mémoire collective, donc un choix plus grand pour faire de l'audience. La nouveauté fait peur car elle signifie perte d'audience, alors que le panel de 50 ans de musique suffit allégrement aux grandes radios pour survivre, (en injectant "LE" nouveau titre de temps en temps, à condition qu'il proviennent d'une giga production et que celle-ci parvient à un "accord" avec le-dit médias).
En résumé, les dès sont pipés d'avance pour les labels indépendants ou les petites productions si ils veulent passer à la télé ou à la Radio.
Reste les radios locales qui "poussent" les nouveaux talents. De ce vivier les meilleurs passeront les étapes une à unes, parfois rachetés par des grosses prod...

On vit une époque de richesse créative grâce à l'explosion du numérique, donc le tri est encore plus sélectif !


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