La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radiohttps://www.lalettre.pro/2024-03-28T11:55:25+01:00Webzine Maker45.2172961.452709https://www.lalettre.pro/favicon.icohttps://www.lalettre.pro/var/style/logo.jpg?v=1575630139Revivez le meilleur des Radiodays en vidéos2016-04-07T12:51:00+02:00https://www.lalettre.pro/Revivez-le-meilleur-des-Radiodays-en-videos_a10248.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9231688-14732499.jpg2016-04-01T08:00:00+02:00Brulhatour
Pour 280 euros, les internautes peuvent ainsi retrouver la conférence d'ouverture avec Mathieu Gallet (Radio France) et Marie-Christine Saragosse (France Médias Monde), partager la vision du futur de la radio avec Helen Boaden (BBC Radio), mieux appréhender le Breaking News avec Gwendoline Debono (Europe 1) et Dominique d'Olne (RTBF)... L'accès à l'ensemble des vidéos classées par thèmes (ventes, podcats, programmes, musiques...) est possible en envoyant une demande par mail ICI . La prochaine et huitième édition des Radiodays Europe aura lieu du 19 au 21 mars 2017 au Rai Conference Centre à Amsterdam.
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État des lieux de la radio par Médiamétrie2016-03-25T10:32:00+01:00https://www.lalettre.pro/Etat-des-lieux-de-la-radio-par-Mediametrie_a10192.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9185180-14644754.jpg2016-03-25T09:00:00+01:00Brulhatour
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#RDE16 : Ben Starr, réalisateur du documentaire "Elettra", fille de Marconi2016-04-21T01:05:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-Ben-Starr-realisateur-du-documentaire-Elettra--fille-de-Marconi_a10095.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9115635-14506954.jpg2016-03-21T10:17:00+01:00Philippe Chapot
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#RDE16 : "Il est grand temps d’oublier la "mentalité émetteur"2016-04-21T01:20:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-Il-est-grand-temps-d-oublier-la-mentalite-emetteur_a10141.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9147203-14567560.jpg2016-03-21T09:18:00+01:00James Cridland
Insensé, n’est-ce pas ? Pourquoi mettre tant de soin à créer quelque chose pour le rendre indisponible pratiquement dès que vous l’avez abouti ? C’est pourtant comme ça que la radio fonctionne, chaque jour. Nous fabriquons des éléments. Nous les diffusons, une fois, sur notre gros émetteur dont nous sommes si fiers. Et puis nous effaçons le fichier audio et nous fabriquons autre chose. C’est ce que j’appelle la "mentalité émetteur", et ça n’a aucun sens. En octobre 2014 a été lancée une série sur podcasts qui a duré jusqu’à Noël de la même année. Ce fut un succès incroyable : à la fin de la série, on totalisa plus de 40 millions de téléchargements. Impressionnant ! Mais alors, il se passa quelque chose d’étrange : les gens continuèrent à la télécharger. Fin janvier, on atteignit 68 millions de téléchargements ! Et d’après certains, alors que j’écris ces lignes, la série a dépassé les 100 millions de downloads.
En radio, nous faisons preuve d’une obsession à "nourrir l’émetteur" – de préférence avec des contenus en direct. Mais la série que je viens d’évoquer est l’un des exemples qui démontrent que "la mentalité émetteur" est dépassée et présente un danger pour le futur de la radio. Et tout d’abord parce que cet état d’esprit "émetteur" est mauvais pour l’amplitude de nos contenus. On se concentre à mort sur ce que pourrait être l’état d’esprit des auditeurs à neuf heures du matin, plutôt que de se concentrer sur la production de contenus excellents ! Il est probable que personne ne pense que les auditeurs, à cette heure-ci du matin, veulent écouter des réflexions académico-philosophiques à propos de sujets tels que la civilisation maya, présentées par un type dont le véritable nom est "Baron Bragg de Wigton".
Pourtant… ce programme existe ! Il s’appelle "En Notre Temps" – et a été téléchargé 27 millions de fois, en plus d’être diffusé tous les jeudis sur BBC Radio 4… à neuf heures du matin ! Bien évidemment, il faut être dans l’ambiance pour écouter un tel ovni ; d’où son succès à la demande. La "mentalité émetteur" est aussi mauvaise pour la qualité. Nous pensons – et c’est une erreur – qu’à la radio, le plus important est d’être en direct. Alors on se débrouille comme on peut pour fabriquer des bouts de radio qui auraient été bien meilleurs avec un peu de préproduction.
Chaque fois que vous entendez la communication qui se coupe avec un invité au téléphone, une liaison audio foireuse, ou une interruption soudaine d’un entretien pour diffuser un improbable bulletin de trafic routier… vous entendez de la radio qui aurait pu être bien meilleure s’il n’y avait eu cette superstition de l’importance de "nourrir l’émetteur".
Cette "mentalité émetteur" roule les auditeurs dans la farine : parce que nous pensons qu’il faut alimenter l’émetteur avec des éléments sans cesse renouvelés. Pourtant, grâce à larecherche radio moderne, nous savons que seulement 12% des auditeurs de 16h15, par exemple, auraient déjà entendu l’interview diffusée à 6h35 le matin même. Pour la plus grande partie de l’auditoire, il s’agit là d’un contenu complètement nouveau qu’ils seraient probablement ravis d’écouter. Le week-end présente encore plus d’opportunités. Du contenu nouveau pour la majorité des auditeurs, et pas cher ! Enfin la "mentalité émetteur" est mauvaise pour l’archivage. Puisque nous produisons la majorité de la radio en direct, il nous faut travailler dur pour l’archiver ! Résultat : des podcasts mal reconditionnés et une complication ajoutée pour la réutilisation en ligne.
Si les émetteurs sont toujours importants, la primauté du direct doit laisser la place à la primauté du contenu de qualité. Je pense que la mentalité émetteur n’a pas sa place dans le futur de la radio.
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#RDE16 : du contenu en continu pour Radio Express2016-04-21T00:56:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-du-contenu-en-continu-pour-Radio-Express_a10140.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9147169-14567499.jpg2016-03-21T07:50:00+01:00Brulhatour
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#RDE16 : la Norvège est prête pour arrêter la FM2016-04-21T00:56:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-la-Norvege-est-prete-pour-arreter-la-FM_a10126.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9135329-14544844.jpg2016-03-18T07:50:00+01:00Olivier Oddou
Jørn Jensen travaille à la NRK, la radio publique norvégienne, depuis 1986. Il y exerce à présent le rôle de Senior Advisor auprès de la direction. Il fut également le Président du WorldDAB de 2009 à 2013. Devant les caméras de La Lettre Pro de la Radio, Jørn Jensen a rappelé que la décision d'arrêter la FM en Norvège avait été prise alors que 5 critères nécessaires à cette bascule avient été atteints l'année dernière. Il a en outre précisé l'intérêt de l'opération tant pour les opérateurs, qui vont réduire leurs frais de diffusion, que pour les auditeurs, qui verront l'offre de radios nationales grandement élargie. Et une première mondiale !
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#RDE16 : du contenu en continu pour Radio Express2016-04-21T01:05:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-du-contenu-en-continu-pour-Radio-Express_a10098.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9117366-14510146.jpg2016-03-18T07:40:00+01:00Brulhatour
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La Lettre Pro en podcast avec l'A2PRL #692016-03-18T00:51:00+01:00https://www.lalettre.pro/La-Lettre-Pro-en-podcast-avec-l-A2PRL-69_a10128.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9138264-14550321.jpg2016-03-18T07:20:00+01:00Philippe Chapot
Chaque vendredi, les lecteurs de La Lettre Pro de la Radio peuvent télécharger gratuitement le podcast de La Lettre Pro, version radio. Un condensé de l'actualité de la semaine traitée ici ou dans le magazine. Cette capsule propose également des interviews exclusives de professionnels de la radio. Au sommaire cette semaine, un "avis réservé" du CSA face à l'élargissement à la publicité de Radio France, un nouveau Smartphone qui permet d'écouter la RNT, NRJ Group et une offre audio digital, le prochain congrès de la CNRA à Strasbourg et la couverture des grands événements par l'A2PRL.
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noPhilippe Chapot#RDE16 : David Systems diffuse les contenus2016-04-21T01:04:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-David-Systems-diffuse-les-contenus_a10101.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9117528-14510546.jpg2016-03-18T06:45:00+01:00Brulhatour
DAVID Systems est reconnue pour sa capacité à gérer des chaînes de production de contenus enrichis sur un mode ouvert, adaptable et extensible. Ses logiciels et services sont utilisés par quelques-unes des sociétés de radio et multimédias les plus grandes et les plus novatrices dans le monde. La famille de logiciels "DigaSystem", ou "DigAS", de DAVID dote les journalistes, producteurs et équipes techniques d’un moyen simple de diffuser des contenus multimédias et de répondre de façon économique aux opportunités et défis de la diffusion multimédia.
Parmi les clients de DAVID Systems, on trouve Arte, France Médias Monde, et RCF en France ; BR, SWR, MDR, RBB, WDR et Antenne Bayern en Allemagne ; ORF et Red Bull Media House en Autriche ; RTS, RTR, SRF, RSI et Radio Top en Suisse ; RTL 102.5 et Südtirol 1 en Italie ; Canal Sur en Espagne, NRK, Sveriges Radio, P4 en Scandinavie ; Metro Radio et Phoenix TV à Hong Kong et NPR, WNYC and WAMU aux USA
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#RDE16 : la "Benztown Touch" veut séduire les radios françaises2016-04-21T01:04:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-la-Benztown-Touch-veut-seduire-les-radios-francaises_a10100.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9117519-14510522.jpg2016-03-17T12:27:00+01:00Philippe Chapot
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#RDE16 : La vision du marché radio de Michel Colin 2016-04-21T01:05:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-La-vision-du-marche-radio-de-Michel-Colin_a10099.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9117467-14510375.jpg2016-03-17T11:00:00+01:00Philippe Chapot
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#RDE16 : Pierre Bellanger coupe la poire en deux2016-04-21T01:32:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-Pierre-Bellanger-coupe-la-poire-en-deux_a10108.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9123729-14522164.jpg2016-03-16T07:50:00+01:00Philippe Chapot
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Les auditeurs sont notre vrai produit !2016-03-15T11:09:00+01:00https://www.lalettre.pro/Les-auditeurs-sont-notre-vrai-produit-_a10107.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9121770-14518537.jpg2016-03-15T11:07:00+01:00Denis Florent
La réponse est étonnamment courte : on ne peut pas ! Ou en tout cas, on ne peut pas tant que nous serons de simples diffuseurs au lieu d’agir comme noeuds de contenus digitaux. Comme c’est le cas pour chaque industrie qui disparaît (pensez aux fabricants de chandelles de cire lorsqu’Edison inventa l’ampoule électrique…), on peut toujours se rassurer en disant "ça fonctionne encore". Et c’est vrai ! Devinez quoi ! Ça "fonctionnera encore" pendant quelques années. Peut-être même – ouf ! – jusqu’à l’année de votre retraite ! Bien. Mais qu’en est-il alors de la vision industrielle ? Du Grand Tout ?
Pourquoi notre industrie survit-elle ?
En termes de contenus, un fait tout simple sauve toute l’industrie : les gens continuent de préférer la radio pour découvrir et aimer de nouveaux titres musicaux ! Pendant ce temps-là, à l’autre bout de la chaîne numérique, les streamers comme Deezer ou Spotify n’ont toujours pas trouvé comment faire pour que leurs utilisateurs aiment les nouveautés musicales… S’ils y parviennent un jour finalement, ils auront alors tué la radio musicale pour de bon. Ou plutôt : ils seront alors devenus la radio musicale. En termes financiers, notre industrie est si ancienne – plus d’un siècle ! – que personne ne questionne son efficacité à vendre des produits. La radio vend. Ou, du moins, elle vendait. Tout le monde le sait. Mais vend-elle si efficacement et si précisément que – par exemple – une publicité Facebook ne le fait ? Bien sûr que non. Notre ciblage est sommaire, old school. Et nous gérons l’interruption de nos contenus le mieux possible… c’est-à-dire très mal ! Nos revenus vont décroître. Un petit peu. Puis un peu plus. Puis dramatiquement.
Rentabiliser la radio
Un peu plus. Puis dramatiquement. Pour penser nos métiers différemment, nous devons nous rendre capables d’inventer de nouveaux flux de revenus. Lorsque je vois comme il est difficile de convaincre les opérateurs radio d’utiliser de simples nouveaux canaux de distribution (bonjour le DAB+, bonjour l’IP), je peux imaginer facilement les montagnes qu’il nous faudra franchir pour convaincre des régies de penser à de nouvelles manières de rentabiliser la radio. Les Digital natives sont encore trop jeunes pour être déjà en poste comme PDG de réseaux radio. Mais lorsqu’ils y parviendront, ils ouvriront des yeux écarquillés devant une industrie qui n’aura pas vraiment changé depuis Marconi. Et ils nous demanderont "Mais pourquoi ?"
Changer notre façon de penser notre métier
Comme l’avoua un jour un ancien PDG d’Universal, lorsqu’on lui demanda pourquoi ils avaient réagi si maladroitement devant l’avènement de Napster, nous dirons : "Parce qu’on ne savait pas. On ne savait pas à qui parler. On ne savait pas à qui faire confiance. On ne connaissait même pas le vocabulaire adéquat." Notre monde est devenu tout-numérique. La musique que nous jouons provient de sources numériques. Nos voix sont enregistrées et diffusées numériquement. Nous produisons numériquement. Mais nous n’avons pas changé d’un iota notre façon de penser notre métier, notre mission, notre core-business. Nous pensons toujours "broadcast", un pour tous, descendant, donneur de leçons. Nous n’avons pas encore compris que le monde nouveau est démocratique d’une manière post-représentative. Nous n’avons pas encore endossé nos nouveaux habits de redistributeurs de données user-generated. Nous pensons toujours que nos contenus sont notre produit. Nous n’avons pas encore appris à considérer que nos auditeurs sont notre produit principal.
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#RDE16 : Partagez-vous la vision de James Cridland ?2016-04-21T01:05:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-Partagez-vous-la-vision-de-James-Cridland_a10097.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9117145-14509667.jpg2016-03-15T08:54:00+01:00Brulhatour
Insensé, n’est-ce pas ? Pourquoi mettre tant de soin à créer quelque chose pour le rendre indisponible pratiquement dès que vous l’avez abouti ? C’est pourtant comme ça que la radio fonctionne, chaque jour. Nous fabriquons des éléments. Nous les diffusons, une fois, sur notre gros émetteur dont nous sommes si fiers. Et puis nous effaçons le fichier audio et nous fabriquons autre chose. C’est ce que j’appelle la "mentalité émetteur", et ça n’a aucun sens. En octobre 2014 a été lancée une série sur podcasts qui a duré jusqu’à Noël de la même année. Ce fut un succès incroyable : à la fin de la série, on totalisa plus de 40 millions de téléchargements. Impressionnant ! Mais alors, il se passa quelque chose d’étrange : les gens continuèrent à la télécharger. Fin janvier, on atteignit 68 millions de téléchargements ! Et d’après certains, alors que j’écris ces lignes, la série a dépassé les 100 millions de downloads.
En radio, nous faisons preuve d’une obsession à "nourrir l’émetteur" – de préférence avec des contenus en direct. Mais la série que je viens d’évoquer est l’un des exemples qui démontrent que "la mentalité émetteur" est dépassée et présente un danger pour le futur de la radio. Et tout d’abord parce que cet état d’esprit "émetteur" est mauvais pour l’amplitude de nos contenus. On se concentre à mort sur ce que pourrait être l’état d’esprit des auditeurs à neuf heures du matin, plutôt que de se concentrer sur la production de contenus excellents ! Il est probable que personne ne pense que les auditeurs, à cette heure-ci du matin, veulent écouter des réflexions académico-philosophiques à propos de sujets tels que la civilisation maya, présentées par un type dont le véritable nom est "Baron Bragg de Wigton".
Pourtant… ce programme existe ! Il s’appelle "En Notre Temps" – et a été téléchargé 27 millions de fois, en plus d’être diffusé tous les jeudis sur BBC Radio 4… à neuf heures du matin ! Bien évidemment, il faut être dans l’ambiance pour écouter un tel ovni ; d’où son succès à la demande. La "mentalité émetteur" est aussi mauvaise pour la qualité. Nous pensons – et c’est une erreur – qu’à la radio, le plus important est d’être en direct. Alors on se débrouille comme on peut pour fabriquer des bouts de radio qui auraient été bien meilleurs avec un peu de préproduction. Chaque fois que vous entendez la communication qui se coupe avec un invité au téléphone, une liaison audio foireuse, ou une interruption soudaine d’un entretien pour diffuser un improbable bulletin de trafic routier… vous entendez de la radio qui aurait pu être bien meilleure s’il n’y avait eu cette superstition de l’importance de "nourrir l’émetteur".
Cette "mentalité émetteur" roule les auditeurs dans la farine : parce que nous pensons qu’il faut alimenter l’émetteur avec des éléments sans cesse renouvelés. Pourtant, grâce à larecherche radio moderne, nous savons que seulement 12% des auditeurs de 16h15, par exemple, auraient déjà entendu l’interview diffusée à 6h35 le matin même. Pour la plus grande partie de l’auditoire, il s’agit là d’un contenu complètement nouveau qu’ils seraient probablement ravis d’écouter. Le week-end présente encore plus d’opportunités. Du contenu nouveau pour la majorité des auditeurs, et pas cher ! Enfin la "mentalité émetteur" est mauvaise pour l’archivage. Puisque nous produisons la majorité de la radio en direct, il nous faut travailler dur pour l’archiver !
Résultat : des podcasts mal reconditionnés et une complication ajoutée pour la réutilisation en ligne. Si les émetteurs sont toujours importants, la primauté du direct doit laisser la place à la primauté du contenu de qualité. Je pense que la mentalité émetteur n’a pas sa place dans le futur de la radio.
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#RDE16 : L’approche intelligente de la programmation2016-04-07T13:02:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-L-approche-intelligente-de-la-programmation_a10104.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9120993-14517039.jpg2016-03-15T07:41:00+01:00Brice Vidal
"MusicMaster est surpuissant et son attractivité pour des milliers d’utilisateurs tient en trois mots", selon Thomas Roth, principal associé du patron d'ON AIR, Rainer Eichhorn. D'abord sa flexibilité. Une base de données évolutive et customisable, quels que soient le format musical ou la plateforme. "Imaginez le nombre d'informations qu'engendre un morceau de musique. MusicMaster en enregistre à volonté, c'est ce qui le rend imbattable", assure le manager allemand. Ensuite, "il laisse une liberté de choix totale, MusicMaster s'intègre sans heurt à tout autre système. Imaginez la liberté de choisir votre système d'exploitation favori. Idem en termes de gestion du trafic, de facturation et de recherche." Autre avantage : "les outils dédiés permettent au programmateur de garder le contrôle complet sur sa base de données musicales et/ou sa planification. L'utilisateur se sent complètement en sécurité, comme à la maison."
Et selon Thomas Roth, c'est grâce aux retours d'expériences des professionnels de la programmation musicale dans le monde entier. Ces différentes fonctionnalités représentent seulement une part de l’équation. Pour Thomas Roth, "l’assistance personnelle dédiée et l'interaction constante avec l’utilisateur constituent l’autre facette du produit. J'invite d'ailleurs tous les directeurs de programmes, les ingénieurs du son, les directeurs artistiques ou les professionnels en système d’information à nous demander une démonstration de MusicMaster."
Rapprocher l'auditoire de la culture
Pour prendre des parts de marché, pas de stratégie complexe, glisse le responsable berlinois. Le business plan d'ON AIR : la relation de confiance. "Depuis le premier jour, on va à la rencontre des gens. Station après station, entreprise après entreprise, pays après pays. On est toujours à l'écoute quand il s'agit de nos clients, partenaires et collègues. Mais c'est aussi notre passion pour ce job qui est à l'origine de notre développement. Nous sommes une partie d'un réseau de gens ayant la même sensibilité. Les produits et les services que nous proposons sont une synergie de challenges, d'idées et de motivations, que les gens autour de nous veulent partager avec vous. C'est comme travailler avec un partenaire fiable, inspiré et amusant. Dans de telles conditions, tôt ou tard, la croissance intervient."
MusicMaster est devenu leader dans le domaine de la programmation musicale dans de nombreux pays européens, aussi bien pour les radios, les chaînes de télé musicales, les webradios ou le divertissement en général. "Demandez à vos collègues où que ce soit. Parlez avec les directeurs de programmes, tous les professionnels qui ont déjà l'expérience de MusicMaster depuis longtemps. On sera ravis de vous mettre en contact avec eux, qu'il s'agisse de diffuseurs publics, commerciaux, locaux, régionaux ou nationaux." Pour ce qui est du marché francophone, ON AIR collabore avec la RTBF, FIP, RTL, Radio Classique, Radio Nostalgie Belgique ou Radio Mosaique à Tunis. RTS (Radio Télévision Suisse) à Lausanne est l’un des clients historiques. Ils ont commencé à utiliser MusicMaster il y a 20 ans.
Pour s'en convaincre, il suffit de faire un crochet par le pôle MusicMaster, stand 42-43 lors des Radiodays Europe ; l'un des événements majeurs pour la société dirigée par Rainer Eichhorn et Thomas Roth. "Un moment privilégié pour rencontrer et accueillir nos amis, nos partenaires, nos futurs clients et partenaires actuels."
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#RDE16 : 21 Juin, le studio 100% made in France2016-04-21T01:06:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-21-Juin-le-studio-100-made-in-France_a10094.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9115611-14506911.jpg2016-03-15T07:19:00+01:00Francois Quairel
"Cocorico !!" S’il y avait un son qui pouvait symboliser 21 Juin Production, c’est bien le cri de notre cher coq, emblème de la fierté française ! Une marque de fabrique "made in France" qui s’affiche en bonne place sur le site internet du studio. Que de chemin parcouru, 21 Juin qui porte le nom du premier jour de l’été, mais surtout celui de la Fête de la musique. Il y a 8 ans, la production française de jingles chantés se résumait à un seul acteur : les frères Costa et leur société Freeway Music. Leurs productions sonnaient dans toutes les têtes : du Club Dorothée à Chérie FM en passant par France Bleu. "On voulait mettre un coup de neuf et proposer quelque chose de différent. On voulait proposer des habillages un peu moins « baroques » avec un travail sur les playbacks et moins de boîtes à rythmes", explique l’un des fondateurs Éric Renard. Au départ, le studio était spécialisé dans la production de spots publicitaires et de beds/génériques pour les émissions et les animateurs. "On a eu l’opportunité de travailler sur l’habillage de RTL2 et nous avons foncé", raconte Éric Renard.
Le studio d'habillage de France Bleu
Ce premier contrat avec la station musicale pop rock du groupe RTL, les équipes de 21 Juin prennent leur bâton de pèlerin pour démarcher de nouvelles stations.Vient alors Chérie FM qui souhaite renouveler l’ensemble de son habillage de jingles chantés, puis le studio remporte son plus gros marché : France Bleu. Le réseau des 44 stations locales de Radio France choisit 21 Juin pour retravailler la totalité de son habillage : "On a tout recréé, même la mélodie du chanté", explique Éric Renard.
S'adresser aux stations CHR et Hot AC
Une nouvelle étape s’ouvre aujourd’hui pour le studio, selon lui : "L’environnement concurrentiel a changé. La pression sur les stations, sur les donneurs d’ordre aussi, mais on travaille un peu plus le marketing antenne, ce qui est positif !" Proposer du sur-mesure est toujours le maître mot de 21 Juin Production : "On ne fait pas de packages, on ne fait que des compositions originales", précise le patron qui déroule la liste des stations clientes : Bel RTL, RTL, Top Music, Magnum, Sanef 107.7, Latina et même deux radios marocaines : 2M et Parenthèse. Des radios adultes pour la plupart, mais 2016 sera l'année de nouvelles propositions artistiques pour les radios CHR/Hot AC : "Avec l’intégration de deux nouveaux producteurs plus jeunes, on va s’adresser à des stations plus jeunes avec une nouvelle offre, notamment pour les radios régionales." À découvrir aux Radiodays Europe jusqu'à ce soir.
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noFrancois Quairel#RDE 2016 : Priorité à la digitalisation des ondes2016-04-21T01:07:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE-2016-Priorite-a-la-digitalisation-des-ondes_a10089.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9115285-14506347.jpg2016-03-14T16:07:00+01:00Brulhatour
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#RDE16 : les bonnes recettes de Radio Zu en Roumanie2016-04-21T01:06:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-les-bonnes-recettes-de-Radio-Zu-en-Roumanie_a10091.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9115305-14506378.jpg2016-03-14T15:43:00+01:00Philippe Chapot
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EXCLU - LG sort le premier smartphone avec réception DAB+2016-03-18T00:42:00+01:00https://www.lalettre.pro/EXCLU-LG-sort-le-premier-smartphone-avec-reception-DAB_a10096.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9116345-14508229.jpg2016-03-14T14:30:00+01:00Olivier Oddou
Le nouveau smartphone sortira dans plusieurs pays où le DAB+ est solidement implanté : Australie, Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Norvège, Royaume Uni. Hormis sa puce DAB+, le LG Stylus 2 sera doté d'une application spécifique permettant la réception des radios numériques. Le constructeur Coréen fournira également une plateforme technique de développement pour que les radios et autres opérateurs puissent intégrer dans leurs application maison la réception du signal radio en DAB+.
Grâce au DAB+, les possesseurs du LG Stylus 2 auront accès à davantage de radios qu'en FM, sans aucune consommation de leur forfait 3G ou 4G, et bénéficieront de la couverture des émetteurs DAB+, notamment en mobilité. Un véritable atout alors que le smartphone est devenu un récepteur clé de la radio, dans la poche de tous les utilisateurs. Dans un communiqué, Juni Cho, PDG de LG, souligne qu'avec ce lancement, son groupe adopte une approche proactive dans l'évolution rapide des technologies dans la numérisation de la diffusion broadcast.
Gunnar Garfors, président de l'IDAG, a souligné quant à lui le large éventail de possibilités qu'offre dans le futur la combinaison de la réception broadcast et de l'IP.
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#RDE16 : Et maintenant la vidéo pour Pure Jingles2016-04-21T01:06:00+02:00https://www.lalettre.pro/RDE16-Et-maintenant-la-video-pour-Pure-Jingles_a10090.htmlhttps://www.lalettre.pro/photo/art/imagette/9115292-14506357.jpg2016-03-14T13:10:00+01:00Philippe Chapot