LLPR - Vous êtes directeur de RFM depuis un an, pourquoi fêter les 35 ans de la station ?
TP - RFM est une radio que j’écoutais régulièrement comme 2,5 millions, mais je n’avais pas conscience du rôle qu’avait joué RFM dans l’histoire de la radio ni celle de son fondateur Patrick Meyer, je ne savais pas que Coluche était venu sur RFM, qu’on avait fait faire les premiers pas à Arthur ou Laurence Boccolini. J’ignorais que RFM a été la dernière radio à être brouillée par le gouvernement pendant 423 jours. Quand je me suis plongé dedans, j’ai été captivé, j’en ai discuté avec Stéphane Bosc, mon directeur des programmes, et j’ai vu qu’on était sur une date anniversaire, on s'est tout de suite dit : il faut qu’on le fasse. On ne construit son futur qu’en connaissant son histoire.
TP - RFM est une radio que j’écoutais régulièrement comme 2,5 millions, mais je n’avais pas conscience du rôle qu’avait joué RFM dans l’histoire de la radio ni celle de son fondateur Patrick Meyer, je ne savais pas que Coluche était venu sur RFM, qu’on avait fait faire les premiers pas à Arthur ou Laurence Boccolini. J’ignorais que RFM a été la dernière radio à être brouillée par le gouvernement pendant 423 jours. Quand je me suis plongé dedans, j’ai été captivé, j’en ai discuté avec Stéphane Bosc, mon directeur des programmes, et j’ai vu qu’on était sur une date anniversaire, on s'est tout de suite dit : il faut qu’on le fasse. On ne construit son futur qu’en connaissant son histoire.