Ce qui frappe, chez RSA, c'est cette confrontation permanente entre tradition et modernité. Les murs de studios peints avec des couleurs criantes, naïves, typiques de la Caraïbe, où s'affichent micro, sport et gwoka. L'équipe, jeune, qui la fait vivre au quotidien, défend avec vigueur les multiples musiques de l'île papillon et sa mission de radio de territoire.
Si l'on en croit Le Routard, Sainte-Rose n'aurait pas grand-chose à offrir au visiteur de passage, ce qui semble démontrer que ce Routard a loupé les studios de RSA, installés dans un ancien château d'eau (et l'excellent restaurant tenu par une ancienne Claudette !). C'est justement cette vérité de la ville et de ses sections (RSA porte le nom de l'une d'elles) qui en fait le charme, d'où émet RSA, désormais sur l'ensemble de l'île. Comme tant de ses consœurs, RSA est née en 1983, de la volonté d'une poignée de jeunes Sainte-Rosiens d'être au service de leur ville et acteurs de l'animation et du développement local.
Des émissions de proximité voyaient le jour ; les petits commerçants, les associations étaient invités à faire la promotion de leurs activités. Ils étaient enfin accompagnés et pouvaient entreprendre, avec le relais de la radio et pour le plus grand bonheur de la population.
Si l'on en croit Le Routard, Sainte-Rose n'aurait pas grand-chose à offrir au visiteur de passage, ce qui semble démontrer que ce Routard a loupé les studios de RSA, installés dans un ancien château d'eau (et l'excellent restaurant tenu par une ancienne Claudette !). C'est justement cette vérité de la ville et de ses sections (RSA porte le nom de l'une d'elles) qui en fait le charme, d'où émet RSA, désormais sur l'ensemble de l'île. Comme tant de ses consœurs, RSA est née en 1983, de la volonté d'une poignée de jeunes Sainte-Rosiens d'être au service de leur ville et acteurs de l'animation et du développement local.
Des émissions de proximité voyaient le jour ; les petits commerçants, les associations étaient invités à faire la promotion de leurs activités. Ils étaient enfin accompagnés et pouvaient entreprendre, avec le relais de la radio et pour le plus grand bonheur de la population.