Thierry Gandilhon vient de rejoindre Netia en tant que directeur général. Son obsession : rendre très simples des environnements toujours plus compliqués.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le monde de la diffusion n'en finit plus de repousser ses propres frontières. L'enjeu, c'est le contenu. Tout le monde s'accorde à le dire. Mais quel contenu ? Lorsque le journaliste va sur le terrain, aujourd'hui, qu'il travaille pour la télé, la radio ou la presse écrite… Quels éléments doit-il recueillir ?
Dans un monde immobile, un journaliste radio prend du son, et un journaliste papier prend des photos et note des réactions. C'est fini. Aujourd'hui, la radio se filme, la presse enregistre des sons, la télé écrit des articles. C'est la convergence numérique.
Notre univers n'en finit plus de repousser les frontières et d'ouvrir de nouvelles portes. Les potentiels sont gigantesques, l'audience est multiconnectée et elle a soif de contenus. On doit la poursuivre et la séduire aujourd'hui derrière une multitude de récepteurs et d'écrans aux caractéristiques et aux fonctionnalités différentes. Bref, c'est compliqué.
Dans un monde immobile, un journaliste radio prend du son, et un journaliste papier prend des photos et note des réactions. C'est fini. Aujourd'hui, la radio se filme, la presse enregistre des sons, la télé écrit des articles. C'est la convergence numérique.
Notre univers n'en finit plus de repousser les frontières et d'ouvrir de nouvelles portes. Les potentiels sont gigantesques, l'audience est multiconnectée et elle a soif de contenus. On doit la poursuivre et la séduire aujourd'hui derrière une multitude de récepteurs et d'écrans aux caractéristiques et aux fonctionnalités différentes. Bref, c'est compliqué.