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Il n'en revient pas lui-même: Sébastien Lebois est l'heureux directeur des programmes d'une radio qui fracasse tous les records.
Ah, ce moment où, fébrilement, vous cliquez sur le document de Médiamétrie. Il est 8h, le soleil brille déjà, c’est l’été, le café fume dans votre mug. Et puis vient cet instant délicieux où une petite ligne sibylline vous indique que... vous avez littéralement explosé votre record d’audience. Que vous avez dépassé ce que vous n’osiez même pas imaginer dans vos rêves les plus fous. Sébastien Lebois et son équipe viennent de le vivre. Ils sont encore en suspension dans les couloirs de la radio.
«C’est une drôle de journée, rigole Sébastien. 668.000 auditeurs/jour! On ne s’en lasse pas. Cette phrase coule comme du miel...» Le plaisir est d’autant plus intense que l’équipe d’Alouette ne s’y attendait franchement pas. Faire le point d’audience, c’était l’objectif. Améliorer le score, oui. Mais arriver à ce chiffre là... « il aurait été prétentieux de notre part d’anticiper un tel score!»
D’autant que la fin de saison n’était pas forcément placée sous les meilleures auspices pour les régionales et les musicales. «Nous arrivons à un tel score dans un marché en baisse: sur les musicales, seules Fun, NRJ et RFM parviennent à augmenter leur audience. Et en pleine Coupe du Monde, il n’y a pas une seule radio généraliste qui gagne des points!» Sur le papier, pourtant, la vague aurait dû leur être favorable.
La suite de cet article sera à lire dans votre prochain magazine "La Lettre Pro de la Radio", disponible en version papier et numérique. Pour s'abonner, c'est ici.
Pour relire notre dossier hors-série consacré à Alouette, c'est ici, et c'est cadeau.
«C’est une drôle de journée, rigole Sébastien. 668.000 auditeurs/jour! On ne s’en lasse pas. Cette phrase coule comme du miel...» Le plaisir est d’autant plus intense que l’équipe d’Alouette ne s’y attendait franchement pas. Faire le point d’audience, c’était l’objectif. Améliorer le score, oui. Mais arriver à ce chiffre là... « il aurait été prétentieux de notre part d’anticiper un tel score!»
D’autant que la fin de saison n’était pas forcément placée sous les meilleures auspices pour les régionales et les musicales. «Nous arrivons à un tel score dans un marché en baisse: sur les musicales, seules Fun, NRJ et RFM parviennent à augmenter leur audience. Et en pleine Coupe du Monde, il n’y a pas une seule radio généraliste qui gagne des points!» Sur le papier, pourtant, la vague aurait dû leur être favorable.
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Les revenus publicitaires de Radio France resteront plafonnés
